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 Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre:

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Vinety
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MessageSujet: Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre:   Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre: Icon_minitimeSam 22 Aoû - 5:20

Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre :

Salut les members et les visiteurs

Ci-dessous, une traduction de Civilisation Watch (Une analyse sur notre civilisation), par
Yves Vinet (Vinety), le 21 août 2009

Civilization Watch
First appeared in print in The Rhinoceros Times, Greensboro, N, By Orson Scott CardMarch 4, 2007


Par Orson Scott:

Notre source de renseignement travaille pour une agence gouvernementale. Il n'est pas un espion, il est un analyste. Il utilise des ordinateurs pour traiter une multitude de chiffres et à la fin de son travail apparaît alors la vérité, qui était cachée dans les données d'origine. Nous allons l’appeler « Mann. »

Le problème avec Mann, c'est qu’il a une idéologie. Il sait ce qu'il veut, et ce que ses résultats devraient être. Mais les données originales qu’il possède ne peuvent pas lui donner les résultats qu’il souhaiterait avoir, parce que l'agence pour laquelle il travaille ne pourrait persuader les gens à lutter pour la guerre, pour laquelle il veut engager le combat.

Comme de raison, ceci est inacceptable.

Faire corréler les données.
Il démarre avec son logiciel pour cuisiner les données. Mais il existe certaines procédures normalisées et acceptées pour ce genre de travail. Il n’a fait qu'une seule petite erreur, son programme effectue une récursivité un peu bizarre et si les données qu’il doit utiliser, ne donnent pas les courbes qu'il souhaiterait qu'elles affichent, elles seront amplifiées 139 fois, éclipsant de loin, toutes les autres données originales.

Il peut exécuter son programme avec des nombres aléatoires et ils lui donnent la forme qu'il veut. Malheureusement, les nombres réels ne sont pas aléatoires, elles ont une forme très différente, tous les nombres. Même, son programme trafiqué ne lui donne pas les résultats escomptés.

Tout ce dont il a besoin est que les données qu’il utilise lui donnent la bonne courbe. Et donc il regarde un peu plus loin, et…la voilà cette courbe visualisée. Il semble à première vue qu’elles soient somme toute pareilles aux autres données avec lesquelles il a travaillé. D'autres chercheurs travaillant dans le même domaine et en passant rapidement sur elles vont aussi penser qu’elles sont correctes.

Mais ce n'est pas le cas. Parce que la source réunie pour ce traitement par lots de données avait quelques autres informations clés, qui l’ont intoxiqué irrémédiablement. Les chiffres ne disent pas ce qu'ils devraient normalement signifier. En fait, ce jeu de passe-passe est absolument truqué.

Toutefois, si vous utilisez ces chiffres avec toutes les autres données, le petit programme trafiqué, va les ramasser et les amplifier radicalement, et voilà ! Les résultats finals montrent exactement la courbe que les données doivent produire.

Le problème est que ces chiffres sont présumément doublement vérifiés. Toute personne qui regarde avec attention le lot de données et ausculte son programme verra ce qu'il en a fait. Ce n'est pas difficile à constater, si vous avez le lot des données originales et pouvez vérifier le programme. Ce serait reconnu immédiatement comme une fraude scientifique.
Si cela est rendu public, sa cause sera entachée irrémédiablement, et lui fera plus de mal que de bien.

Mais il n'est pas peur. Il sait comment le système fonctionne. Il n'affiche pas le programme ou la liste de ses sources de données à personne.

En second lieu, on lui est donné un gros coup de pouce par le fait qu'un autre chercheur, que nous appellerons "Santer", qui lui aussi, avait son propre couteau à aiguiser. Il a été aussi, également l'auteur d'un rapport discutable, après qu’il eut été nommé à un poste d’autorité, ce qui lui a permis de faire le rapport final avant publication et lui a permis de supprimer toutes les instructions et les commentaires sur le « processus », et les a remplacé par sa propre conclusion, qui est absolue. Ce qui veut dire qu’il n’existe présentement aucun moyen pour d’autres chercheurs, d’arriver à une conclusion définitive.

Et ç’a fonctionné. Le rapport de « Santer » est accepté, même s'il a été depuis longtemps, prouvé comme étant falsifié. Le rapport de Mann continue d'être invoqué, et personne ne le questionne. L'Agence du gouvernement publie le rapport même s’il sait qu’il a été falsifié, pour arriver à des conclusions prévues d’avance. D’importantes sommes d'argent sont dépensées sur la base de ce qu'il prétend avoir trouvé. La vie de personnes est mise à risques.

Mann et Santer ne l’ont pas fait pour de l'argent, bien que les subventions circulent dans leur direction. Ils l'ont fait pour la cause. Une noble cause. Et même si les données ne disent pas vraiment dire ce qu'ils veulent dire, en fait, ils disent le contraire. Ils ne sont aucunement dérangés par ce détail. Parce que les actions de gouvernement qui sont prises le sont pour de bonnes raisons. Santer et Mann sont de vrais croyants. Les preuves sont inutiles. Les évidences sont justes quelques choses que vous créiez pour convaincre les autres personnes.

Voici la chose la plus étonnante sur le rapport original de Mann. Il n'est pas le seul chercheur travaillant dans ce domaine. En fait, c'est le travail de plusieurs centaines de chercheurs de refuser d'accepter ces données falsifiées. Après tout, ses conclusions sont en désaccord avec tout le monde. Avant qu'ils acceptent ses résultats, ils ont le devoir examiner son logiciel, de consulter ses données, et tenter de reproduire ses résultats.
Mais personne ne le fait. Pas une âme. Ni, lorsqu'il en va du public, personne dans les médias ne vérifie les résultats, parce qu’en fait, ils veulent tous qu’ils soient conformes à la vérité.

L'homme d'affaires canadien, que nous appellerons « Steve », a jeté un coup d’œil rapide sur les statistiques et sa curiosité a été rapidement éveillée. Maintenant, il arrive que Steve soit dans une activité minière, et aussi, également, comme étudiant collégial, ait été primé en mathématiques. Il sait comment analyser les jeux de chiffres. Il sait à quoi ressemble une bonne analyse. Il sait aussi à quoi ressemblent les chiffres falsifiés. Il a vu les projections fictives produites par des entreprises pour essayer d'escroquer le monde. Leurs résultats sont trop parfaits. Le rapport de Mann semble aussi trop parfait, réellement trop.

Sur ce, Steve commence à creuser. Tout d'abord, il lit le rapport initial de Mann. Il trouve cet exercice assez obscur. D’après ce qu’il a publié, il est très, très difficile de seulement dire, quelle est la méthode statistique que Mann a utilisée, ou même de dire, quelles sont les données qu’il aurait exploitées ? C'est mauvais, et ce n’est pas tellement scientifique.
Les scientifiques sont censés laisser la voie cristalline, pour que d’autres personnes puissent suivre leurs recherches, et répliquer au besoin. Pour que ce soit si obscur, cela nous laisse croire que Mann ne veut pas tout que son travail soit vérifié par quiconque.

Mais Mann utilise des subventions gouvernementales pour ses recherches. Ce qui signifie qu'il a l'obligation de les divulguer. Steve l’a contacté, et lui a demandé des informations. Mann s’est défilé. Il a été dirigé vers un site Web qui ne dispose pas de l'information. Il tente à nouveau, et à nouveau Mann se défile, en fait, Mann lui envoie une lettre très brutale, disant qu'il ne communiquerait plus avec lui. Pourquoi le devrait-il ? Steve n'est pas un chercheur légitime dans ce domaine. Il est juste un homme d'affaires.

Mais Steve sait maintenant qu’il y a quelque chose de pas très catholique qui se passe, et il n'est pas près d’abandonner de sitôt. Il obtient que d'autres personnes l’aident. Finalement, ils sont enfin dirigés vers un autre site Web, où à leur grande surprise, ils trouvent que quelqu'un a accidentellement laissé un exemplaire du programme FORTRAN ayant servi à interpréter les chiffres. Il n'était pas censé pour être là où Steve l’a trouvé et c'est pourquoi il n'avait pas été supprimé.

En outre, il constate qu’il y avait pas mal de négligence. C’est un ensemble de données intitulées "censurés". Steve ne peut pas le comprendre tout de suite, ce qui est très significatif, sauf que plusieurs jeux de données sont hors de la liste de données interdites. Steve se penche sur le programme. Il trouve le problème plutôt facilement. Il essaie le programme sur les nombres aléatoires et il se rend compte qu'il donne toujours la forme distinctive qui a causé toute l'agitation.

Trier les ensembles de données est beaucoup plus difficile. Il contacte un grand nombre de personnes. Il fait ce qu’un grand nombre de personnes aurait fait, vérifiez ces chiffres, et il réalise, que si quelqu'un avait essayé de les vérifier, beaucoup de ces informations auraient déjà été rassemblées.

Il réalise : je suis la première personne qui n’ait jamais tenté de vérifier ces résultats étonnants, anormaux, et politiquement chauds. Parmi tous les chercheurs dans ce domaine qui avait la responsabilité « de le faire avec diligence » avant d’accepter ces données, pourtant, aucun d'eux ne l'a fait.

Enfin, il a toutes les données d'origine mises ensemble. Cela comprend plus que les nombres réels, ça comprend des données "extrapolées", ce qui signifie que parfois, où il y avait des trous, Mann a simplement produit de nouveaux nombres et les a tout simplement introduits dans leur secteur respectif. C'est désordonné et paresseux, mais ce n’est juste que le début.

Ce qui est crucial, c'est que Steve comprend mieux maintenant pourquoi les ensembles de données "interdites", sont plus petits que celles utilisées par Mann. La source complète de données inclut celles qui induisent en erreur les résultats et qui ne devraient pas avoir été utilisées. Mais l’ensemble de données "interdites", les laisse de côté.

Cela signifie que Mann savait exactement ce qu'il faisait. Ce n'était pas un accident. Mann a exécuté le programme sur les données sans les données erronées, et puis il exécuta le programme avec les données erronées. Il les a publiés, avec les résultats qui satisfaisaient sa cause idéologique. Où est la presse ? Pourtant, cette histoire est vraie.

Quiconque se soucie de la vérité, peut vérifier l'histoire. En fait, l'un des principaux producteurs d’articles scientifiques était prêt à publier les résultats de Steve. Mais ensuite, avant publication, ils ont commencé par réduire la quantité d'espace qu'il serait laissé à Steve pour publier son rapport. Mais ensuite ils ont continué à couper de plus en plus d’espace. Enfin, l'espace qu'ils allaient lui attribuer était tellement petit qu'ils ont conclu que Steve ne pourrait pas raconter son histoire avec si peu de mots, et donc, ils ont décidé ne pas le publier du tout.

Entre-temps, des publications sérieuses ont publié la réponse brutale de Mann, à ce que Steve disait sur le site Web où il permettait à tous ses lecteurs de lire les résultats de ses recherches sur Mann.

Nota bene : Steve fait son travail de façon transparente et permet à quiconque à travers le monde de vérifier ses données.

Mann se cache toujours, refusant, attaquant, mais ne fournissant jamais les informations complètes qui pourraient le disculper. Vous devez toujours faire un travail de détective pour obtenir des informations fiables. Maintenant, si vous êtes un journaliste, vous savez tout. Ces braves gens qui se sont engagés, corps et âme, ont le devoir absolu de faire connaître au public la vérité. Ne sentez-vous pas l’odeur de rat mort qui vient de cette arnaque ? Vous ne pouvez pas manquer cette opportunité d'exposer cette fraude évidente…Non?

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MessageSujet: Re: Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre:   Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre: Icon_minitimeSam 22 Aoû - 5:21

Deuxième partie :

Après tout, il existe maintenant à travers le monde, des gouvernements qui fondent leurs décisions sur le faux rapport de Mann. Des décisions cruciales sont prises. Les écoliers sont maintenant terrorisés avec des projections désastreuses de ce qui se passera, si le rapport de Mann n'est pas cru ou soit ignoré. D’importantes sommes d'argent sont dépensées. Le monde traite la cause de Mann comme une croisade et ces faux résultats servent d'armes principales, par ceux qui les utilisent à volonté pour prouver leur dire.

Où est la presse ? Pourquoi suis-je capable de vous parler de cette histoire en pleine confiance, sachant que très peu vont sont la lire et n’en ont jamais entendu parler avant? Tout simplement, parce que Mann ne se rapporte pas à l'administration Bush. L'agence intergouvernementale où le résultat a été déposé était les Nations-Unies, plus précisément, le GIEC, expert intergouvernemental sur les changements climatiques.

Et le rapport de Mann et sa fameuse "crosse de hockey" qui "prouve" que le réchauffement planétaire est non seulement d’actualité, mais que nous sommes maintenant dans la période climatique la plus chaude depuis le dernier millénaire.

Ah ! Vous avez entendu parler de ce rapport, n'est-ce pas ? La presse en a parlé partout! Vos enfants sont renseignées sur ce sujet à l'école! Ah, vous avez des amis qui vous considèrent comme un idiot, ou la racaille de la terre, si vous n’êtes pas excité ou effrayé par ce rapport, et déterminé à agir sur ces informations. N’êtes-vous pas préoccupé par l'avenir de l'environnement ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas rallié à cette cause? Pourquoi l’administration Bush ne réagit-elle pas pour sauver le monde de cette terrible menace inimaginable ?

C'est tout comme dans l'ouverture de la section "Talk of the town" du 12 février du New Yorker: « Sauf que dans certains sites ténébreux, comme le Web financé par l'industrie pétrolière, la maison blanche, Bush, le repaire de Michael Crichton, ces jours –ci, personne ne perd beaucoup de temps à essayer de nier le réchauffement global. »

Cette déclaration n'est pas seulement fausse, c'est stupidement erroné. Cela nous indique l’ignorance profonde qui existe au New Yorker, une ignorance dont ils sont réellement fiers, qu'elle nous rend fous de désespoir, et cela, d’une émission qui se piquait de savoir tout sur tout, et qui alors était fière de connaître à fond, les sujets dont ils parlaient.

Au moment où le GIEC publie un rapport, il a été examiné par des milliers de scientifiques, » comme le dit The New Yorker, mais nous savons qu'en fait, personne n'a examiné l’article de Mann, et personne n’a vérifié Santer sauf, bien entendu, la Commission, alors qu'il a été de l’avant et a supprimé les déclarations de certains de ces «milliers de scientifiques » (p. 27).

En d'autres termes, celui qui a écrit cet article du New Yorker ne l’a pas vérifié. Il ou elle a seulement dégurgité le rapport sans le vérifier. Ce qui est vraiment dit est ici : "nous croyons le GIEC et toutes les personnes qui supportent le réchauffement global. Nous y croyons tellement que nous refusons d’écouter toute personne qui dit autrement. »

La seule différence entre cela, et Jim et Tammy Baker du vieux Club PTL, est que personne ne dit "Jésus". C'est tout un acte de foi, sans aucune science. Cela ressemble à des gosses de quatre ans qui mettent leurs doigts dans leurs oreilles et chantent à tue-tête, "La la la la" jusqu'à ce que la personne qui leurs parlent disparaisse.

L’arnaque de la crosse Hockey devrait être un scandale aussi énorme, que la fausse découverte de l’homme de Piltdown. Vraiment, plus grand, parce qu’il y a beaucoup plus en jeux. Mais aussi, parce que les médias sont dominés par des vrais croyants, ils font tout ce qu’ils peuvent pour garder en vie ce canular, afin d'empêcher le public de connaître la vérité.

Graphique produit par Mann et accepté par le GIEC :
Un coup d’œil sur une civilisation. La nôtre: 09082204161323001


Quelles sont ces mauvaises données que Mann a insérés dans son programme pour obtenir ses faux résultats? Les anneaux de croissance des pins de Bristlecones modernes, dans lesquelles de récents anneaux de croissance ont montré des épaisseurs qui signifieraient normalement une température exceptionnellement chaude.

Toutefois, ces arbres étaient situés près de stations d’enregistrement météorologique qui montraient des températures inhabituellement inférieure. Donc au lieu d'être un signe de températures plus chaudes, la croissance de l’arbre réagissait au niveau élevé de CO² de cette zone.

Même le titre que coiffait cette étude sur les pins Bristlecone indiquait clairement, que les anneaux de croissance plus larges n'indiquaient nécessairement pas des températures plus élevées. Mais Mann les a inséré comme si elles l’étaient, produisant un lot de données qui ont montré des conditions météorologiques plus chaudes (p. ex., des anneaux de croissance plus large) ces dernières années, ce qui a permit au logiciel défectueux de produire sa fameuse crosse de hockey.

L'étude des pins Bristlecone était de la science réelle. L’usage que Mann en a fait, était délibérément frauduleux. Comment peut-on connaitre la vérité? Tout cela peut être vérifiée. Je n'ai même pas modifié les noms. « Mann » est Michael Mann ; ses co-auteurs sur ce rapport de la crosse de hockey sont Raymond Bradley et Malcolm Hughes. “Steve » est Stephen McIntyre, et le rédacteur du rapport avec qui je travaille depuis est Ross McKitrick, qui est un scientifique de climat. Leur rapport est un chapitre du Shattered Consensus: The True State of Global Warming édité par Patrick J. Michaels.

Savez-vous comment un vrai croyant scientifiques réagit à tout cela? Tout comme le rédacteur ignorant du New Yorker. Il n'a aucune intention de répondre à toute cette charge spécifique. Ils vont rejeter tout simplement tout désaccord en disant, "tous les scientifiques intelligents acceptent que le réchauffement global soit réel; quiconque le nie est tout juste un excentrique, et vous devez les ignorer".

C'est exactement le genre de partialité que les ennemis du président Bush l’accusaient d'avoir, au cours des préparatifs de la guerre en Iraq. Ils prétendaient que Bush et son personnel croyaient seulement les rapports du CIA, qui leur disaient ce qu'ils voulaient entendre et ont ignoré les autres, affirmant que "tout le monde connaissait", les choses qui étaient fausses.

Ce n'est pas ce qui est arrivé avec Bush (mais ces jours-ci, vous n'avez pas vraiment besoin de prouver les accusations contre le Président Bush). Mais, avec l’arnaque de la crosse de hockey, elle peut encore être prouvée, même si les journalistes ne prêtent plus aucune attention à tous ces, « Ce n’est « pas une histoire. »

En d'autres termes, les mêmes personnes qui attaquaient Bush et le traitaient de menteur se comportent en fait exactement comme s’ils accusaient Bush de se comporter de même sur le réchauffement global versus les changements climatiques. Si vous prêtez une attention particulière, vous constaterez que les alarmistes du réchauffement global ne disent plus "Réchauffement global". Non, aujourd'hui ils disent « Changement climatique. » Savez-vous pourquoi ? Parce que depuis les trois dernières années, les températures globales ont tombées drastiquement.
Oups.

La raison est, que ça fait depuis vingt ans que les alarmistes ont déclenché la bannière du réchauffement global. Ils nous ont dit que si cela se poursuit tel quel, en 2010 ou en 2020, le niveau de la mer va augmente tellement, que les villes côtières seront inondées.


Le premier numéro imprimé de Civilisation Watch a paru dans le Rhinocéros Times, Greensboro, NC par Orson Scott Card, le 4 mars, 2007

Tous pour une bonne cause. Une histoire que vous n'avez pas entendue, mais que vous devriez avoir lue

Amicalement

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