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 Les températures (NASA GISS) des stations urbaines sont-elles dénaturées par l’étalement rapide des grandes villes américaines ?

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Vinety
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Les températures (NASA GISS) des stations urbaines sont-elles dénaturées par l’étalement rapide des grandes villes américaines ? Empty
MessageSujet: Les températures (NASA GISS) des stations urbaines sont-elles dénaturées par l’étalement rapide des grandes villes américaines ?   Les températures (NASA GISS) des stations urbaines sont-elles dénaturées par l’étalement rapide des grandes villes américaines ? Icon_minitimeDim 9 Aoû - 16:41

Note: Vous trouverez la source de ces graphiques ci-dessous:

Petition project, par les auteurs: Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon

Le graphique 15 : La tendance des températures pour 1940 à 1996, de 107 stations de mesures dans 49 comtés de Californie .
Les températures (NASA GISS) des stations urbaines sont-elles dénaturées par l’étalement rapide des grandes villes américaines ? 090809033906987865

Le graphique 15 : La tendance des températures pour 1940 à 1996 des 107 stations de mesures dans les 49 comtés de la Californie (51,52). Les tendances ont été combinées avec les circonscriptions de populations similaires et pointées avec les erreurs standard de leurs moyennes. Les six stations de mesures de la circonscription de Los Angeles ont été utilisées pour calculer l’erreur standard de cette circonscription, qui est ordonnée pour une population de 8.9 millions. L’effet thermique des ilots urbains des mesures de température des surfaces est évident. La ligne droite est le plus petit carré approprié pour les cercles rapprochés. Les points marqués d’un X sont les 6 rapports des stations non ajustées et sélectionnées par la NASA GISS (53-55), utilisées pour leurs estimations des températures de la surface mondiale. Une telle sélection donne les températures de la NASA GISS trop élevées.

L’ensemble des rapports expérimentaux est compatible en soi. La terre s’est réchauffée depuis la petite ère glaciaire selon un rythme moyen de 0.5 °C par siècle. Les fluctuations à l’intérieur de cette tendance thermique incluent des périodes où la hausse a été plus rapide et aussi, des périodes où la température baissait. Ces fluctuations correspondent bien avec une concomitance des fluctuations des activités solaires. Ni la tendance ni les fluctuations à l’intérieur de la tendance ne sont en corrélation avec l’usage des hydrocarbures. Depuis 1800, le niveau de la mer et la longueur des glaciers révèlent trois tendances intermédiaires à la hausse et deux tendances baissières, comme a fait l’activité solaire. Ces tendances climatiques étaient bénignes et étaient le résultat de processus naturels.

La concentration de CO² atmosphérique dans l’atmosphère terrestre a augmenté durant le siècle dernier, telle que montrée dans le graphique 17. L’envergure de cette augmentation est d’environ 4 milliards de tonnes (GT C) de carbone par année. La production de CO² industriel anthropique, principalement issu l’usage du charbon, huile, du gaz naturel et la production de ciment, est couramment de 8 GT C par année (7, 56, 57). Les humains exhalent aussi à peu près 0.6 Gt par année, qui a été préalablement séquestrée par les plantes et venants du CO² atmosphérique. La concentration de CO² dans les bureaux dépasse souvent 1000 ppm.

Pour mettre ces chiffres en perspective, il est estimé que l’atmosphère contient 780 Gt C ; la surface de l’océan contient 1000 Gt C ; la végétation, le sol et les déchets contiennent 2000 Gt C ; et l’océan contient 38000 Gt C ou des produits d’hydratation de CO². Chaque année, la surface de l’océan et l’atmosphère échangent un estimé de 90 Gt C ; la végétation et l’atmosphère 100 Gt C ; la biomasse marine et la surface de l’océan 50 Gt C ; et la surface de l’océan et la masse intermédiaire et profonde de l’océan 40 Gt C. (56, 57).

L’ampleur de ces réservoirs est tellement grande, le rythme d’échange entre eux, et les incertitudes de ces chiffres estimés, et que les sources de cette augmentation récente des CO² atmosphériques n’ont pas été déterminées avec certitude (58, 59). Ce qu’on rapporte sur la concentration atmosphérique de CO² a varié grandement sur les temps géologiques, avec des pics, selon certaines estimés, quelques-unes 20 fois plus grandes que présentement et d’autres, aussi bas qu’approximativement 200 ppm (60-62).
Les rapports sur les carottes de glace citent sept périodes importantes durant les 650 000 ans, où le CO², le méthane (CH4) existaient, la température a monté et après, elle a descendu (63-65). Les rapports des carottes de glace contiennent des incertitudes substantielles (58), ainsi, ces corrélations sont imprécises.

Dans tous les sept cycles glaciaires et inter glaciaire, les changements rapportés sur les CO² et le CH4 sont après les changements de températures et ne peuvent pas par conséquent les avoir causés (66). Ces fluctuations impliquent probablement des changements causés par la température dans les contenus océanique et terrestre des CO² et des CH4. Plusieurs fluctuations récentes du CO² sont aussi en retard sur la température (67,68).


BIBLIOGRAPHIE

7. Marland, G., Boden, T. A., and Andres, R. J. (2007) Global, Regional, and National CO2 Emissions. In Trends: A Compendium of Data on Global Change. Carbon Dioxide Information Analysis Center,Oak Ridge National Laboratory, U.S. Department of Energy, Oak Ridge, TN, USA, http://cdiac.ornl.gov/trends/emis/tre_glob.htm

53. Hansen, J. and Lebedeff, S. (1987) J. Geophysical Res. 92, 13345-13372.

54. Hansen, J. and Lebedeff, S. (1988) Geophysical Research Letters 15, 323-326.

55. Hansen, J., Ruedy, R., and Sato, M. (1996) Geophysical Research Letters 23, 1665-1668; http://www.giss.nasa.gov/data/gistemp/

56. Schimel, D. S. (1995) Global Change Biology 1, 77-91.

57. Houghton, R. A. (2007) Annual Review of Earth and Planetary Sciences 35, 313-347.

58. Jaworowski, Z., Segalstad, T. V., and Ono, N. (1992) Science of the Total Environ. 114, 227-284.

59. Segalstad, T. V. (1998) Global Warming the Continuing Debate, Cambridge UK: European Science and Environment Forum, ed. R. Bate, 184-218.

60. Berner, R. A. (1997) Science 276, 544-545.

61. Retallack, G. J. (2001) Nature 411, 287-290.

62. Rothman, D. H. (2002) Proc. Natl. Acad. Sci. USA 99, 4167-4171.

63. Petit et. al., (1999) Nature 399, 429-436.

67. Dettinger, M. D. and Ghill, M. (1998) Tellus, 50B, 1-24.

68. Kuo, C., Lindberg, C. R., and Thornson, D. J. (1990) Nature 343, 709-714.

69. Revelle, R. and Suess, H. E. (1957) Tellus 9, 18-27.


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