Science climatique et intégrité Salut les membres et les lecteurs
Par John Ray (M.A.; Ph.D.), de Brisbane, Australie
Un courriel de Dupree Moore
Traduit de l’anglais par Vinety, le 15 avril 2009.Les arguments légitimes pour la science de la climatologie sont très simples, parce que les scientifiques n’en connaissent pas suffisamment pour prouver des dissertations complexes. Ils ne peuvent faire d’essais contrôlés sur l’atmosphère. Ils ne peuvent pas répéter les séries de temps pour mesurer les effets de différentes configurations. La seule chose qu’ils peuvent faire est d’enregistrer les données climatiques telles qu’elles se produisent, et ensuite, examiner les enregistrements historiques et en faire une corrélation. N’importe quel enfant de 12 ans bien entrainé peut comprendre cette évidence.
Les questions astucieuses soulevées par votre lecteur démontrent qu’il comprend bien le débat, mieux que plusieurs scientifiques impliqués. Selon leurs incompréhensibles équations et leurs modèles d’ordinateur, la plupart de ces scientifiques ne pourraient pas se poser ces questions basiques, ni pouvoir y répondre, du moins, pas si nous les jugeons selon leurs publications, où ils écrivent n’importe quoi. Parce que leurs projets de changements climatiques sont engendrés artificiellement à travers des considérations politiques, plutôt qu’à travers l’évolution normale de la science. Personne n’a jamais créé de physique de base pour vérifier les hypothèses les plus simples et les plus fondamentales de ce débat.
Pour répondre à une seule de ses questions, il n’y a aucun doute qu’une serre vitrée fonctionne en bloquant la convection plutôt que piéger la radiation. Contrairement à l’atmosphère, nous pouvons construire une serre selon plusieurs configurations, et prendre des mesures précises. Si nous permettons la convection tout en continuant de piéger la radiation, la température intérieure de la serre s’égalise avec celle de l’extérieur. Déjà, nous avons exposé plus de vraies sciences que celles publiées dans les rapports du GIEC. Ceci ne prouve pas nécessairement que la théorie des GES est fausse, simplement que cette théorie est mal nommée. Mais, ça prouve que la convection est un mécanisme très important, possiblement, le plus important, pour réguler la température de la terre.
Al Gore et ses projections fantaisistes de la fin du mondeLes GES absorbent la radiation. Ils n’ont pas d’effets particuliers sur la convection et la conduction. Quand, par hasard, je constate à travers mes expériences avec les serres, j’ai l’impression que la radiation n’est pas un facteur significatif, ce qui voudrait dire que les GES ne sont pas un facteur adéquat. Mais, la seule façon de le savoir est de faire des essais et prendre des mesures dans l’atmosphère, mais ces essais sont pour toujours au-delà de notre atteinte.
La seule authenticité que nous avons ou pouvons avoir, sont les enregistrements historiques du climat. Ces enregistrements ne montrent aucune corrélation entre le contenue de CO² atmosphérique et la température. La formulation est vraie pour les échelles millénaires, centenaires et décennales. Pour cinq des sept dernières décennies, la température baissait, alors que le CO² haussait. La plupart des périodes chaudes du XXe siècle se situaient avant 1940; alors que la plupart des hausses de CO² ont eu lieu après 1940. Un enfant de 12 ans bien entrainé pourrait gagner ce débat.
Il y a tellement d’incertitudes et d’ignorances sur la science du climat, que la théorie du réchauffement global, la théorie du refroidissement global, ou n’importe quelle théorie dingue indépendante des témoignages qui pourraient être imaginées ne sont pas crédibles. Mais il est absurde de lier la totalité des ressources énergétiques mondiales, basée sur des modèles d’ordinateurs qui contredisent toutes les observations empiriques.
Les modèles ne sont même pas supportés par des mathématiques rigoureuses. Soumettre répétitivement les mêmes données sur un ordinateur, et vous avez un large spectre de résultats différents. Les marges d’erreur d’un modèle climatique n’ont rien à voir avec la réalité empirique. Elles décrivent les incertitudes des mathématiques utilisées. En relation avec la réalité climatique actuelle, la fourchette des erreurs d’un modèle climatique par ordinateur est littéralement à 100 %.
Alors que j’apprends que la qualité de l’enseignement en éducation scientifique décline, je réalise qu’il est possible que les plus jeunes scientifiques soient si incompétents, mais les plus vieux n’ont pas de telles excuses. Nous devons à contrecœur, commencer à douter de leur intégrité.
Amicalement
Vinety