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 La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC.

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Vinety
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MessageSujet: La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC.   La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC. Icon_minitimeVen 5 Déc - 16:43

Salut les membres.

Ci-joint, la traduction intégrale de cet article sur l’implication de la francophonie dans le dossier du RCA, spécifiquement de l’intelligentsia française. Pourquoi, la France est-elle si frileuse vis-à-vis ce dossier?

Que pensez-vous de ce phénomène et que répondez-vous ?

Le GIEC et les sceptiques français du climat.

http://www.tcsdaily.com/article.aspx?id=091106F

Traduit de l’anglais par Y.V. (Vinety), le 4 décembre 2008.

Par Hans H.J. Labohm : le 11 Sep 2006

Les voix sceptiques internationales sur le réchauffement global sont en prédominance anglo-saxonne, avec quelques vagues apports nordiques, tels que les Russes, les Italiens et les Hollandais.

Mais les Français sont ostensiblement absents. Pourquoi? Les intellectuels français sont réputés pour leur indépendance et leurs vues dissidentes sur à peu près tous les sujets. Conséquemment, les Français ont traditionnellement des débats politiques très virils et animés, oui, et je dirais même, des polémiques passionnées sur à peu près n’importe quoi. Cependant, à ce jour, un thème est pratiquement absent du débat : le réchauffement global. L’est-il vraiment ?

Pas exactement, mais du à la barrière linguistique, les sceptiques français du climat n’ont presque pas été lus ou remarqués à l’extérieur de la francophonie, quand en même temps, cela a été presque complètement ignorée et occultée par les politiciens et la communauté climatique Française.

Un des sceptiques climatiques le plus imminents, Marcel Leroux a récemment publié une brique (plus de 500 pages) sur le sujet "le réchauffement climatique, mythe ou réalité ? La méthode erronée de la climatologie." L’auteur n’est pas un étranger de la climatologie. Il est un professeur de climatologie à l’université J. Moulin et chef de service du Laboratoire de climatologie, risques et environnement, les deux de Lyon.

Il critique déjà le GIEC depuis plus de vingt ans. Il pense que la température est assujettie à la dynamique des systèmes climatiques dans le contexte des multiples espaces aériens distincts, du monde, et non pas par les équations hypothétiques des modèles climatiques. M. Leroux a commencé à écrire son livre pour commenter sur le triste sort dans lequel la climatologie s’est enlisée depuis 20 ans, soit depuis son entrée dans l’arène politique et pour montrer que la climatologie est aussi à blâmer pour cette dérive.

Il écrit,"Il n’y a pas une semaine sans qu’une nouvelle exclusive, emplisse nos écrans autant que nos journaux sur le réchauffement climatique qui est comme de raison notre faute, tout comme tout le reste d’ailleurs, et les messages et les slogans de désinformation devient de plus en plus en plus simpliste, grossier et rudimentaire!

Ce ne peut pas être plus simpliste: si la pluie tombe ou une sècheresse nous frappe ; si le vent décorne les bœufs ou est inexistant; que ce soit la chaleur ou le froid à faire éclater les pierres; ce sont des évènements causés par les "GES", dont nous sommes responsables. Un argument facile, mais complètement stupide. Le quatrième rapport du GIEC pourrait tout autant décréter un autodafé de tous les livres de climatologie, et les remplacer dans nos écoles par des communiqués de presse du GIEC. Jour après jour, le même "mantra" la terre se réchauffe, ça se débite sous toutes les formes.

Si la glace fond et le niveau de la mer monte, les cavaliers de l’Apocalypse apparaissent de plus en plus proches. Sans le réaliser ou peut-être sans le souhaiter, le citoyen moyen est embobiné et lobotomisé dans un état d’inconscience près de l’idiotie. Les sceptiques des scénarios des GES sont dans la même position qu’étaient les hérétiques qui ne croyaient pas en Dieu…heureusement que la Sainte Inquisition n’existe plus!

Dans son livre, il analyse scrupuleusement le développement da la science du climat, se concentrant sur les rapports successifs du GIEC, qui ont été publiés en 1990,1995 et 2001.
Selon Leroux, le premier rapport contenait l’idée maitresse de ce qu’est le "réchauffement global", mais le ton est modéré et ne mentionne pas l’implication de la responsabilité humaine
Le deuxième rapport ne contribue en rien de nouveau de la part des scientifiques. Mais soudainement et étonnamment, la race humaine est tenue responsable du réchauffement climatique.

Comment ce retournement est-il arrivé? De nouvelles connaissances scientifiques ? Non, c’était le résultat d’un tour de passepasse scientifique. Le scandale a été mis à jour avec l’implication de quelques personnes, incluant Frederick Seitz, le président émérite de l’université Rockefeller et président de l’institut Georges C. Marshall (Washington)

Dans sa lettre au "Wall Street Journal", daté du 12 juin 1996, il écrit : "Mais ce rapport du GIEC n’est pas ce qu’il semble être, ce n’est pas la version approuvée pas les scientifiques qui y ont contribués, tels que ceux listés sur la page frontispice. Comme membre depuis plus de 60 ans de la communauté scientifique américaine, incluant la présidence de deux institutions, l’Académie nationale de la science et la Société américaine de la physique, je n’ai jamais été témoin d’une corruption aussi dérangeante d’un processus de révision des pairs, que cet évènement qui a conduit au rapport du GIEC.
Une comparaison entre ce qui a été approuvé par les scientifiques impliqués et la version publiée révèle que les changements majeurs l’ont été après que les scientifiques qui s’étaient rencontrés et aient acceptés ce qu’ils pensaient être la version définitive de la révision des pairs.

Peu de ces changements étaient cosmétiques, la plupart étaient pour enlever les doutes sceptiques que certains scientifiques exprimaient en regard des activités humaines qui pouvaient avoir un impact majeur sur le climat en général et particulièrement sur le réchauffement global.

Les passages suivants sont des exemples de ceux inclus dans la version approuvée du rapport, mais rejetés du rapport final qui a été publié, qui avait supposément été révisé par les pairs.
-Aucune de ces études citées plus haut n’a démontré d’évidences claires, que nous pourrions imputer au climat observé, des changements qui seraient causés par l’augmentation spécifique des GES, - Aucune étude à ce jour n’a été positivement, partiellement ou en partie, totalement attribuée aux changements climatiques observés, par des causes anthropogéniques (faites par les hommes).- Les revendications de détections positives de changements significatifs du climat vont vraisemblablement resté dans le domaine de la controverse, jusqu’au jour où les doutes éventuels sur les variabilités naturelles du système climatique seront réduits à néant.
A la place, le texte suivant à été inséré : "La balance des évidences suggère une influence discernable des humains sur le climat global. " Malgré la façon dont cette vue a été imposée, et toutes les controverses subséquentes, l’idée n’a jamais été retirée.

Le troisième rapport apporta un deuxième coup de main scientifique. Il a augmenté la valeur de la prédiction de la hausse de la température, en y incorporant l’argument du graphique du "bâton de hockey, qui a été récemment reconnu comme un canular, en mentionnant que les températures actuelles n’ont jamais été aussi hautes, depuis un millier d’années.

En plus du spectre des conséquences des GES qui ont été considérablement élargies, à la limite, elles incluent maintenant tous les phénomènes climatiques. M. Leroux attira l’attention sur Kyoto (INFCC) où il est mentionné dans l’article 6 sur l’éducation et la formation, obligeant les participants au niveau national, à sensibiliser le public, sur les changements climatiques et ses effets. Les signataires de la convention sont liés à adopter le concept du "réchauffement global" au plus haut niveau des institutions, à l’imposer comme un dogme incontournable (comme une religion d’état, indifférent aux débats.).

M. Leroux ajouta, qu’en France, les serviteurs de l’état et en leurs noms, les médias audiovisuels et les instituts, se sentent obligés de propager le dogme officiel, tout comme une certaine agence de presse de l’Est à l’apogée de sa gloire, qui se faisait l’écho du triomphe du Lysenkoisme, a façonné l’opinion publique en faveur de la thèse officielle. Dans son traitement des contributions relatives de différents GES, incluant le plus important, les vapeurs d’eau, qui représentent 95 % du total des GES, il calcula que les activités humaines comptent pour seulement 0.28 %, ce qui est moins qu’excitant. Conséquemment, il argumenta que nous devrions secouer nos obsessions non fondées sur les GES anthropogéniques, et reconsidérer le problème des changements climatiques différemment, en rétablissant la vraie hiérarchie des phénomènes et donner aux effets hydriques, l’importance climatique qu’il mérite.

L’un dans l’autre, M. Leroux pense que la climatologie s’est distancée graduellement du traitement des faits réels, la dynamique de la température et du climat, spécifiquement sous l’influence grandissante de la modélisation. Depuis plus de cinquante ans, elle a été une impasse conceptuelle " Il écrit, nous ne pouvons réellement connaitre ce que sera la température dans plus de deux à trois jours," mais maintenant tout cela a été effacé en un clin d'œil! Maintenant, il est dit sans hésitation, que nous pouvons prédire la température et le climat (qui est la somme des températures) aussi loin que les années 2100… Astrologie ou science?

Hans Labohm, coauteur du " Man-Made Global Warming Unravelling a Dogma" (Démêlage du dogme du réchauffement climatique anthropologique).
Récemment, il est devenu un expert réviseur pour le GIEC.

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MessageSujet: Re: La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC.   La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC. Icon_minitimeSam 6 Déc - 19:19

Salut Chris 43

Citation :
De toute façon les problème se trouve en amont de tout débat scientifique: l'incapacité de l'homme à se comporter en partie intégrante du monde dans lequel il vit. L’espèce humaine est condamnée, à long terme par la mort du soleil, et à court terme par le veau d'or et ses avatars: la croissance, l'avoir au lieu de l'être etc...

Au lieu de culpabiliser sur l'état du monde que nous laisserons à nos enfant, le bon sens voudrait que nous transmettions à nos enfants des valeurs , validées par l'exemple donné. Les verts sont complètement décrédibilisés par leur désintérêt de la géopolitique. Que pèse la croisade anti 4x4 face aux intégrisme de tout bord. Une éducation qui aboutit à envisager la mise en prison d'un enfant de 12 ans, et que des société acceptent de leur mettre une ceinture d'explosif est un déclin de l'humanité bien plus grave que des poulets à la dioxine, qui n'a jamais tué personne.

Salut Chris 43

Malgré que je sois de votre avis concernant le veau d’or et ses avatars, sans ce veau d’or, qui représente le (capital) thésaurisé par quelques-uns, l’humanité n’aurait jamais pu se rendre à ce moment présent, sans le capital qui représente le travail de chaque homme. C’est le travail qui crée la richesse et c’est la richesse collective qui fait qu’aujourd’hui, la population mondiale n’a jamais connu à ce jour, une ère de prospérité si élevée.

L’histoire nous apprend, que les hommes ont de tous les temps eu à subir des tribulations bien pires que l’humanité actuelle, celle qui vit présentement, et malgré une démographie de 6.7 milliards d’individus. Rien n’est parfait, il faut en convenir. Il y aura toujours des ilots de violence, de pauvreté, de famine, et de pollutions, mais comparativement au passé, pas si éloigné, se situant entre quelques décennies à six millénaires, on peut dire sans se tromper, que même si la population s’est multipliée par mille fois et plus depuis, comparativement, celle d’aujourd’hui est plutôt bien choyée.

Les valeurs sont floues et surtout reliées à des dogmes religieux ou de philosophies laïques, propagées par les parents d’un groupe en particulier, aux enfants issus de cette parentèle. C’est l’affrontement de ces différentes valeurs, souvent contradictoires, qui causent les guerres, et qui souvent, se terminent par des génocides.

Les environnementalistes "intégristes" sont plus préoccupés par la disparition de certaines espèces, que par un génocide local. Il est plus important pour eux de sauver quelques insectes ou une espèce animale quelconque en phase d’extinction, que d’aider les humains qui essaient de survivre dans un milieu donné, où ces espèces vivent et qui pour la plusieurs d’entre elles, sont déjà condamné d’ailleurs à disparaitre.

L’incapacité de l’homme de s’intégrer dans la partie du monde dans lequel il survit n’est pas inédite. Celui d’hier et celui d’aujourd’hui ne sont pas différents de celui de demain. Ce n’est pas son incapacité qui est en cause, mais bien le besoin de s’adapter continuellement aux changements climatiques, géologiques, idéologique, et des guerres de pouvoirs, etc.

Plusieurs pensent que la mondialisation va politiquement apporter une ère de stabilité? Je n’en suis pas sur du tout, car l’homme est un être social, et pour qu’il puisse s’intégrer dans une société, il doit nécessairement en délimité les frontières à des dimensions qui à du sens pour lui et s’intégrer aux traditions du groupe auquel il s’identifie. L’humanité étant constituée de milliers de sociétés différentes, et il est bien difficile pour la plupart d’entre elles, de penser de la même façon que les autres sociétés qui l’entoure. Et aussi, qui fera le partage des valeurs d’une société par rapport aux valeurs d’une autre société, tout aussi valables?

C’est la mondialisation commerçante qui va peut être réduire ces pressions politiques, et qui dit commerce dit "échanges" de biens matériels, qui inclus tout ce que l’homme à besoin pour survivre sur cette terre. Qui dit "échange" dit aussi "troc" et qui dit troc, dit "monnaie d’échange", ce qui implique le "capital", la base du veau d’or, tant décrié.

Ce n’est pas le "capital" qui est le problème, mais bien ceux qui le thésaurisent, car si le capital ne circule pas librement, les hommes ne peuvent pas échanger leur prestation de travail pour des billets verts ou rouges et la courroie de transmission de l’économie se brise et les hommes en souffrent et l’économie se désintègre.

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MessageSujet: Re: La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC.   La frilosité des Français vis-à-vis les rapports du GIEC. Icon_minitimeMar 9 Déc - 19:34

Salut lambda0

Lambda0:
Citation :
Finalement, pour une partie de l'industrie, et des politiciens, peu importe que le RC soit réel ou non, dû à l'homme ou non : celà crée des opportunités de développement de certaines industries, aussi bien pour les fabricants d'éoliennes que de réacteurs nucléaires.

Greenpeace et Areva, même combat [Wink]

Je suis totalement d'accord avec toi. C'est pour cela que je suis fâché contre ces monstres de la publicité et de l'arnaque médiatique. Tous ces pseudoscientifiques utilisent la bagou et la démagogie pour remplir leurs poches au dépens de la population, qui est la plupart du temps mal informée, fragile et fascinée par la "pensée unique" du moment, alimentée par des visions incessantes et manipulatrices que déversent quotidiennement les chaines de télévision nationales et internationales, qui fonctionnent comme des vases communiquant, servant à la propagande dictée par l’écocratie et alimentée par l’ONU et GIEC, toute liée politiquement aux mêmes intérêts, soient, une tentative de façonner le monde selon leur vision dogmatique et catastrophique de la fin de notre monde, si l’humanité ne se plie pas à cette idéologie quasiment religieuse.

Et cela à été formellement mentionné par un certain politicien, qui disait, peu importe que cela soit vrai ou faux, pourvue que cela réussisse à dominer la pensée occidentale et finalement, qu’elle y croit, et avec les bourses du carbone, nous réussirons à dominer le monde et les scientifiques qui ne sont pas d'accords.

Ils ont eu finalement raison, car le temps que la gente scientifique commence à s'y intéresser et à réfuter la plupart des allégations, qui par la suite après 20 de ce discours dénaturé, les pauvres scientifiques ont été piégés dans la mélasse nauséabonde de la désinformation et ont peine à se tenir la tête hors de cette rhétorique démagogique assénée de toutes parts.

Ils ont été piégés par la propension des scientifiques à se solidariser et ne pas démolir inutilement le travail de leurs confrères, dont la plupart du temps, ils respectent leurs opinions. Si les scientifiques ne pouvaient s’impliquer sans subir l’animosité de leurs confrères, imaginons le traitement que devaient subir les "profanes" informés, qui osaient montrer et afficher leur scepticisme.

Aujourd’hui, avec ce matraquage continu du GIEC, l’éléphant blanc de l’ONU, qu’on ne peut faire tourner rapidement sur une pièce de monnaie, , il ne reste que les scientifiques retraités et indépendants économiquement qui osent se rallier et tenir un discours scientifique pour contrer tout ce tapage médiatique, enflé pat les intérêts des boursicoteurs, qui ont bien hâte de profiter des retombés de cette bourse, qui se chiffrera par trillions de $, qui est par elle-même, est un levier suffisamment puissant pour faire pencher la balance dans le sens des intérêts de l’Écocratie".

Le fait d’utiliser les scientifiques pour faire avaliser ces fausses croyances, fera un très grand tort à la crédibilité scientifique qui est basée sur l’expérimentation de facto, et non sur des modèles, qu’ils savent très utiles pour vérifier certaines hypothèses, mais inutiles, si ces hypothèses ne sont pas testées ultérieurement par un protocole de vérification à postériori des prévisions par ordinateurs.

Quand on pense, que maintenant les climatologues du GIEC prétendent prédire le climat futur, quand il ne sont même pas capables de prédire le climat qu’il fera dans 10 jours?
Là au moins, ils pourraient vérifier leurs modèles! Mais ils n’en ont cure, car il est moins engageant de prédire ce que sera le climat dans 40 ans, car pour la plupart, ils ne seront plus là pour défendre leurs modèles, même si ceux-ci sont complètement démentis par la réalité climatique qui existera dans ce futur appréhendé. Le GIEC est très conscient de ce fait et justement, compte sur cette réalité pour se déresponsabiliser de leurs prévisions alarmistes.

Cela continue, même si une frange de la société ose maintenant et ouvertement défier la "pensée dominante" et se rallier contre cette démagogie, digne des politiciens le plus retord. Mais cela se fait sur la crédibilité des sciences connexes rattachées à la climatologie et à la biologie, où les experts de ce domaine se demandent s’ils ne devraient pas faire un autodafé des nombreux manuels qui existent actuellement, et les remplacer par des communiqués issues des sycophantes du GIEC.

Notre système économique, relié à la concurrence, l’offre et la demande et à la liberté de commerce sans frontière, n’a pas besoin de cet environnement pour développer de nouveaux produits ou de nouveaux concepts ou s’ajuster aux aléas de la nature et aux besoins de l’humanité.

En basant la nouvelle économie mondiale sur un mensonge, tel que les changements climatiques causés par l’émission de CO², pourraient si le protocole de Kyoto, appuyé par l’"Écocratie" et les nombreux mouvements écologiques, se métamorphoser en des guerres de propagande similaires à l’eugénisme du début du 20e siècle avalisé par la l’intelligentsia universitaire américaine, qui a été finalement utilisée par le nazisme d’Hitler, et a conduit l’humanité au bord du gouffre nucléaire, sans mentionner la guerre froide qui a suivi entre les deux superpuissances d’alors, où l’un des deux belligérants entretenait une idéologie similaire à celle qui est utilisée aujourd’hui par les écologistes de tout acabit, soit pendant trente ans, où l'agriculture soviétique a été dirigée par un fou qui a fait du délire scientifique une religion d'État, Lyssenko.

Citation :
Lyssenko ne se gênait pas pour dire que quiconque propose d'essayer des idées nouvelles venues de pays capitalistes est clairement un réactionnaire. En pleine guerre froide, ces accusations portent.

voir ici


Les États-Unis et le Canada permettent de croire qu’une telle aventure ne se concrétisera pas. Loin de la cacophonie de l'ONU, de Kyoto et du GIEC, les grands pollueurs auraient peut-être plus de chances de se dire les "vraies affaires", et parler de pollutions et non de l’émission de CO², qui fausse tout le débat. D’ailleurs, les Américains, lors des dernières élections, ont donné au sénateur de la Californie un message haut et fort, en votant contre 80% des propositions environnementalistes, qui allaient dans la direction du protocole de Kyoto, que la population ne se laissera pas intimidé par ce discours dogmatique pour l’humanité. Une leçon de démocratie donnée à l’ONU, au GIEC, à l’Europe et à l’Occident, sur la valeur et la force de la démocratie, si celle-ci peut s’exprimer sans restriction et sans être dirigée par l’écocratie, par la voie des citoyens responsables, qui eux aussi savent réfléchir et prendre des décisions qui les affectent personnellement.

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