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 La crédibilité du GIEC est remiss en cause.

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Vinety
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La crédibilité du GIEC est remiss en cause. Empty
MessageSujet: La crédibilité du GIEC est remiss en cause.   La crédibilité du GIEC est remiss en cause. Icon_minitimeJeu 4 Déc - 19:08

Salut les membres

Bonne lecture d’une traduction anglaise, d’avis sur le GIEC, de scientifiques reconnus et maintenant à la retraite. Traduit par Y.V. (Vinety)

La crédibilité du GIEC est remiss en cause. Spielkerogersrclimatolodu3La crédibilité du GIEC est remiss en cause. Tennekeshendrkas2



Un appel personnel à la modestie, l’intégrité et l’équilibre.


Ceci est un extrait des écrits du professeur Roger Pielke's. Le 31 janvier 2007, tirer du blogue de l’université de l’État du Colorado, "Climate Science" (science du climat).

Hendrik Tennekes, directeur de la recherche retraité, de l’Institut royal néerlandais de météorologie et ex-professeur de l’université d’ingénierie aéronautique de l’État de la Pennsylvanie, un expert reconnu du processus des strates limites atmosphériques a contribué une autre fois à notre blogue. Il a les qualifications professionnelles et l’expérience nécessaire sur la science du climat pour commenter ce thème

Il y a 17 ans, j’ai écrit un article pour la revue "Weather" (climat), exprimant mon inquiétude sur le manque d’honnêteté, d’intégrité et d’humilité de plusieurs scientifiques en climatologie.
Je me faisais du souci sur l’arrogance des scientifiques qui prétendaient être capables de résoudre les problèmes climatiques si leurs recherches étaient supportées par des hausses massives de fonds.

Inconnu alors de moi, mon ami Richard Lindzen travaillait alors sur son article fameux, "Quelques rafraichissements concernant le réchauffement global", qui ont été publiés en même temps que le communiqué de l’AMS. Ceci se passait au début de 1990. Nous sommes en 2007, et je veux sonner la même sonnette d’alarme. Il y a une différence, alors je me faisais du souci, maintenant je suis fâché.

Je suis fâché contre Al Gore, je suis fâché contre le communiqué des scientifiques atomiques qui ont remis à l’heure leur horloge du jugement dernier, je suis fâché contre Lord Martin Rees pour avoir utilisé le poids de la société Royale pour supporter ce battage publicitaire, je suis fâché contre Paul Crutzen pour sa spéculation sur une autre correction technologique, je suis fâché contre le personnel du GIEC pour leur préoccupation envers les émissions de CO² et je suis fâché contre Jim Hansen pour son effort à vendre la catastrophe de la fonte du glacier du Groenland.

En parlant d’Hansen, Dick Landzen et moi avons joyeusement écrit une parodie "genre poisson d’avril", (chercher un Groenland reverdi") sur ses dérapages reliés au Groenland, qui a été publié l’année passé sur le site de Fred Singer (SEPP). Je pourrais continuer ainsi longtemps, mais je retiens ma rage.

Je suis pas mal plus contrarié par la préoccupation du GIEC à propos du CO². La rationalité scientifique derrière ce choix est plutôt évidente. Des modèles sophistiqués ont tourné depuis 20 ans déjà sur cette corrélation possible entre une légère augmentation globale de la température et les GES. Le nombre de boutons qui peut être manié dans cette paramétrisation du budget de radiation n’est pas tellement grand. Des résultats apparents peuvent être accomplis sans grands efforts intellectuels.

Je suis d’accord avec GIEC, qu’il y a un rapport apparent entre la combustion des carburants fossiles et la hausse de la température. Mais c’est uniquement là que le semblant de consensus se termine.

Un seul exemple : les modèles n’incluent pas la rétroaction entre les méthodes de culture et celles des récoltes forestières qui changent. Partiellement pour cette raison, ils ne semblent pas se mettre d’accord sur les différents types de précipitation. II est évident que les précipitations sont bien plus pertinentes à la production mondiale de nourriture, qu’une légère augmentation de la température.

Je dois cette idée à mon bon ami Denny (Dennis W.) Thomson de l’État de Pennsylvanie.
Comme moi, il compte sur plusieurs décades d’expérience. Dennis est l’ainé d’un lichenologiste de l’Arctique reconnu mondialement. Lui et sa femme ont eu la bonne fortune de grandir sur des fermes du sud-ouest du Wisconsin. Toujours près de la terre et son écosystème délicat, ils vivent sur une ferme de la Halfmoon Valley, sur les flancs sud-est de la Bald Eagle Ridge, qui compte 600 acres

Un physicien/météorologiste, et l’ancien directeur du département de météorologie de l’État de la Pennsylvanie, Dennis à été le témoin de changements climatiques pour la plus grande partie de sa vie. En même temps, il est profondément concerné par la véracité par le défi physique des modèles climatiques. Pourquoi est-il si difficile de faire des prédictions dans cinquante ans des précipitations ? La plupart des précipitations dans les latitudes moyennes sont associées aux systèmes de basse pression, qui se déplacent le long d’un trajet façonné par les courants "jets".

Les méandres en constants déplacements dans les courants "jets" se trouvent sur les franges des blocs d’air froid sur le dessus des pôles. Les spécialistes appellent ces blocs, "les tourbillons polaires", et ont baptisé les comportements des méandres du courant "jet" dans l’hémisphère nord, "l’oscillation arctique". Il y a trente ans, j’ai travaillé avec Mike (John M.) Wallace et son étudiant en PhD, N.C. Lau à l’université de Washington à Seattle sur in problème concernant le maintient du "Eddy flux" dans le trajet des orages de l’Atlantique Nord. Il est évident pour tous les spécialistes des turbulences que la dynamique d’un état évoluant très lentement est différente des états dynamiques instantanés.

A ce moment, on s’est demandé, qui maintient le courant "jet" dans sa course? On rencontre ce genre de problème, qui est le cœur de toutes les recherches sur les turbulences. Mais le courant principal de la météorologie dynamique refuse d’étudier la lente évolution de la circulation générale. Il est devenu tellement facile de faire tourner un modèle de la circulation générale sur des super ordinateurs, que la plupart des climatologistes sont intimidés par l’étude des interactions entre les tourbillons polaires et l’oscillation arctique. Il y a un an, Mike Wallace m’a posté une lettre, me disant que ce n’est pas le début d’un consensus sur la théorie de l’oscillation arctique. Je pensais il y a un an que c’était un des éclairages soumis par une classe de citoyens retraités sur les changements climatiques. Cela a été annoncé comme "Un orage dans la serre", se référant essentiellement au débat acrimonieux en hausse depuis les derniers quinze ans.

Comment ce problème peut-il nuire aux prévisions climatiques? S’il n’y a même pas une théorie rudimentaire sur les tourbillons polaires, encore moins une relation entre une hausse de la concentration des GES et les changements systématiques dans les oscillations arctiques, l’un ne peut pas faire la démonstration des changements dans les modèles des précipitations
On ne sait pas, et pour l’instant nous ne savons rien sur les changements dans l’organisation des nuages, des orages et des précipitations. Le service national du climat de la Hollande "KNMI" a circonvenu l’année passée cette impasse en publiant un scénario des changements climatiques avec et sans les changements de la position du trajet des orages de l’Atlantique Nord. Le porte-parole de la KNMI n’a pas pensé qu’il aurait été plus sage de mentionner leur manque de connaissances sur ce sujet. Ils auraient du mentionner : nous ne savons rien des changements possibles du trajet des orages, de cette méconnaissance, nous ne pouvons rien dire sur les précipitations.

.Mais cette attitude est consistante avec la tradition du GIEC de semer l’ambigüité sur les sujets inconnus.

Un de mes contacts du KNMI m’a récemment expliqué que leur choix était basé sur des accords accentués avec les simulations des modèles tournants sur des différents programmes par ordinateurs sur les changements globaux du climat. Je me devais de répondre que l’esprit du consensus du GIEC envahissait tout autant leurs super ordinateurs, C’est déjà assez pernicieux que les simulations par ordinateurs ne puissent être vérifiées à postériori par l’observation directe. Présentement, le monopole des GCM dans la "biznesse " sur la recherche climatique est un objet intéressant d’investigation, et pas seulement pour des raisons sociales.



Suite à la deuxième page.....


Amicalement

Vinety


Dernière édition par Vinety le Sam 6 Déc - 17:32, édité 1 fois
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MessageSujet: La cédibilité du GIEC mise en cause (deuxième partie)   La crédibilité du GIEC est remiss en cause. Icon_minitimeJeu 4 Déc - 19:12

Suite...

Un GCM est un modèle de prévision climatique dans lequel les coefficients de paramétrisation sont orientés de telles façons que les prédictions à longs termes aient un air de réalisme. Les modèles sont ensuite modélisés pour des décades. Il n’y a pas d’études approfondies sur les possibilités que quelques minces disparités paramétrées peuvent affecter les valeurs moyennes des paramètres de sorties pour les cinquante années à venir. Un modèle prévisionnel peut très bien se satisfaire de données grossières de paramétrisation, étant donnée l’évolution à court terme de la circulation atmosphérique qui est basiquement gouvernée par des dynamiques internes. Des représentations bâclées des conditions des zones limitrophes des nuages, de l’évaporation et de la condensation ne peuvent pas changer les prévisions climatiques aussi rapidement..

Mais l’évolution à long terme de la circulation générale est dans une large mesure déterminée par les conditions des zones limitrophes. Cette constatation m’a frappée avec force, quand j’ai découvert l’année passée, qu’un simple algorithme pour la hausse d’inversion au dessus de la couche diurne que j’ai conçu en 1973 et en usage aujourd’hui. Comment peut-on être sur qu’un ancien algorithme prévisionnel est capable d’accomplir la tâche lui était assignée dans un modèles climatique ? Au moment où il semble que personne dans cette entreprise n’a rien appris des demandes de falsifications de Karl Popper. C’est pour cela que je grince des dents à la lecture des documents de la WCRP (World Climate Research Programm) à tous les échelles de temps. La raison évidente de cette propagade est de défendre la position de monopole que le GCM a profité depuis si longtemps. C’est une tragédie, pas de la science.

Toute une génération de météorologistes grandie avec la pensée que cette idée est la seule voie possible pour avancer. Ils n’ont pas été exposés au monographe du WMO de Lorenz sur la circulation générale, leur visage pâlit de peur, quand le terme APEEKE (Available Potential Energy and Eddy Kinetic Energy) est utilisé. A cause qu’ils n’ont pas d’autres choix, ils joignent ceux qui clament qu’ils ont besoins de plus gros ordinateurs et d’une meilleure résolution. Le labeur de penser sur leur seule capacité de penser, est trop dur à imaginer.

Pendant toute l’année 2006, j’ai correspondu avec Tim Palmer, un scientifique de premier plan du centre européen des prévisions atmosphérique à moyens termes. La convergence apparente de nos discussions était la dynamique des filaments autour des tourbillons, bloquant la lumière. Palmer a eu l’intuition, que les minces feuilles de tourbillons positifs relatifs, autour d’un cœur de tourbillons négatifs peuvent servir à prolonger la vie des systèmes de haute pression. Je sentais que c’était une hypothèse intéressante.

Pendant plusieurs années, j’ai ridiculisé le verbiage qui disait que les blocage de haute altitude déroutait les orages venant dans leur direction. Plus d’une fois, j’ai expliqué à un journaliste, qu’il serait également approprié de mentionner que le déroutage des orages est soutenu par le blocage des hautes altitudes. Alors est venu la friction. Un mince filament tourbillonnant peut être simulé sur un super ordinateur, seulement si la résolution horizontale est grandement améliorée. Avec le quadrillage courant du modèle ECNWF à 40 kilomètres de coté, si je ne me trompe, la simulation des microstructures tourbillonnantes de la troposphère aurait besoins d’une augmentation de 10,000 fois du pouvoir des ordinateurs.

J’ai pensé, que c’est de cette façon que la propagande des petaflops nécessaires pour résoudre ce problème émane du WCRP. Cent ordinateurs de la génération suivant la prochaine, va peut être en effet générer la croissance désirée. En retour cela va nécessiter une infrastructure de la grosseur du CERN et de l’ITER, ou le groteste Supraconducteur Supracollidateur. C’est ce que John Houghton, Bert Bolin, Martin Rees, le personnel du GIEC et les semblables visent. Je me suis séparé de la compagnie de ces courtier du pouvoir depuis plusieurs années, je ne peux imaginer où ils en sont présentement. Heureusement que Palmer m’a convaincu qu’il n’est pas leur marionnette. Nous avons continué notre correspondance. J’ai écris, "Vous avez réellement fait du lobbying pour une infrastructure massive de supraordinateurs", tu participes à la même chanson et la même danse, celles qui m’ont tellement ennuyées pendant si longtemps.

Durant mes années comme directeur de recherches à la KNMI, les scientifiques autour de moi, honnêtement pensaient, que mon seul travail consistait à promouvoir rapidement l’achat du prochain superordinateur. Ils étaient empressés de s’accoquiner derrière mon dos avec la foule assoiffée de quincaillerie du KNMI et des vendeurs des manufacturiers d’ordinateurs. Souvent, cela résultait en des super rabais offerts autour du mois d’octobre, quand les vendeurs ont entendus par le téléphone arabe, qu’un surplus de budget sera bientôt rapporté à l’équipe de direction. J’aurais peut être été sympathique avec les idées de Palmer s’il aurait argumenté en faveur d’une meilleure représentation des tourbillons océaniques, ou des couches transitoires atmosphériques, ou les effets sur le climat des changement de méthodes de fermage.

La dynamique des trajets des orages et le blocage des hautes altitudes sont une seule parmi plusieurs interactions qui demandent plus de recherches. Il n’est certainement pas approprié de demander plus de pouvoir d’ordinateur sur ce seul domaine. Ceci peut être mieux résolu sur des ordinateurs spécialisés. Dans le cas des blocages en hauteur, un ordinateur programmé à cet effet, serait mieux adapté, parce que il serait dédié à la dynamique interne de l’atmosphère. Dans mon esprit, un sentiment d’équilibre manquait dans la demande de Palmer. Je voulais faire du lobbying pour la modestie, l’honnêteté et l’équilibre dans la recherche climatique. J’espère et je prie pour que perdions notre obsession pour les prévisions climatiques à longs termes. Les simulations climatiques sont mieux vue, comme des expériences des sensitivité, pas comme un outil pour les faiseurs de politiques.

J’ai dit en 1990 et je le répète encore : la contrainte imposée par l’écosystème planétaire requiert des ajustement continus et une adaptation permanente. Le savoir faire prédictif est de seconde importance. Nous devrions arrêter notre support sur la préoccupation aux politiciens qui sont impliqués dans les GES. Leur politique énergétique globale est leur affaire, pas la nôtre. Nous ne devrions pas permettre aux politiciens d’utiliser la projection d’une fausse fin du monde pour couvrir leurs intentions réelles. Si le GIEC ne reprend pas ses sens, je serais heureux de le laisser bouillir dans son propre jus. Il y a plein de travaux à faire.

En 1976, Steve (Stephen H.) Schneider a publié un livre intitulé "La stratégie Génésis".
En ce temps là, cela a eu tout un impact sur moi, principalement parce que Scheider ne faisait pas la promotion d’une fixation scientifique, mais une stratégie globale sur ce que nous appelons aujourd’hui "l’adaptation", une idée complètement accueillie à contre coeur et tardivement par le GIEC. C’étaient les jours de l’hiver nucléaire, modification de la température, le projet des furie orageuses, la destruction de l’ozone stratosphérique, et l’idée saugrenue de semer les glaciers Arctique avec de la suie pour prévenir un autre ère glacière.

Dans la préface de son livre, Schneider cite Harvey Brooks, alors doyen de l’ingénierie de l’université Harvard :

"Les scientifiques ne peuvent plus se permettre d’être naïf vis-à-vis les effets politiques que suscitent la publicité des opinions scientifiques. Si les effets de leur vision scientifique sont politiquement convaincants, ils ont l’obligation d’assumer leurs valeurs alignées politiquement, et essayer d’être honnête envers eux-mêmes, leurs collègues et leur auditoire sur la réalité des prétentions qui affectent leurs sélections et l’interprétation des évidences scientifiques"

Je repose mon cas. FIN

Amicalement

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