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Have Changes In Ocean Heat Falsified The Global Warming Hypothesis? May 09, 2009
Voir ici By William DiPuccio on Climate Science
Par William DiPuccio L’hypothèse du RC.
Albert Einstein a dit une fois ceci : que je fasse plusieurs expériences ne prouverait pas nécessairement que j’ai raison, cependant un seule peut prouver que j’ai tort. Cette simple phrase d’Einstein exprime un principe scientifique fondamental, psalmodié aussi plus tard par le logicien et philosophe des sciences, Karl Popper : Falsifiabilité. (Le fait de pouvoir réfuter un énoncé scientifique par expérimentation.) De façon à vérifier une hypothèse, on doit toujours faire un test pour essayer de prouver sa fausseté. Un millier de tests peuvent sembler vérifier une hypothèse, mais un seul test négatif peut la démolir. L’histoire de la science est pleine d’exemples de ce genre.
Une hypothèse qui ne peut être falsifiée par des observations empiriques n’est pas une scientifique. L’hypothèse courante sur le RCA par GIEC de l’ONU n’est pas une exception à la règle qui ne s’appliquerait pas à ce principe. Effectivement, c’est le travail des scientifiques d’exposer les faiblesses de cette hypothèse, quand elle est critiquée par les pairs. Cet article va tester un seul critère pour la falsifier : la chaleur des océans.
La chaleur de l’océan joue un rôle crucial dans l’hypothèse du RCA, qui maintient que les changements climatiques sont gouvernés par l’activité humaine, qui rajoute régulièrement dans l’atmosphère des GES bien mélangés, issus de l’industrie humaine. La radiation infra rouge qui est absorbée et réémise par ces gaz, particulièrement le CO², qu’ont dit qu’ils sont amplifiés par une rétroaction positive venant des nuages et de la vapeur d’eau. Ce processus résulte en une accumulation de chaleurs à travers le système climatique, qui inclus l’atmosphère, la cryosphère (les glaciers et la glace), la biosphère Voir ici : et la plus importante, l’hydrosphère. L’augmentation de la chaleur océanique accumulée va résulter en une augmentation de la température atmosphérique, de l’ordre de 2 à 6 °C vers la fin du siècle (2100). Voir ici pour ARGO
En 2005, James Hansen, Josh Willis et Gavin Schmidt de la NASA ont été les coauteurs d’un article significatif (en collaboration avec 12 autres scientifiques), "sur le déséquilibre énergétique de la terre : Confirmation et Implication" (le 3 juin 2005, sur Science, P1431-35). Cet article affirmait le rôle critique de la chaleur océanique, comme étant une métrique puissante pour mesurer le RCA. «La confirmation du déséquilibre de l’énergie planétaire," comme ils l’affirmaient, "peut être obtenu en mesurant le contenu de la chaleur de l’océan, qui doit être le principal réservoir des énergies excédentaires (p1432).
En 2007, Roger Pielke, Sr, suggéra que la chaleur de l’océan devrait être utilisée non seulement pour surveiller le déséquilibre énergétique dans le système climatique, mais comme un test Litmus (papier de tournesol) pour falsifier l’hypothèse RCA du GIEC.
(Pielke, “A Litmus Test�”, climatesci.org, April 4, 2007).
Une comparaison de ces projections pour les données observées est montrée plus bas. Malgré les expectatives de réchauffement, les mesures des températures des 700 premiers mètres de profondeur de l’eau des océans, tirées du réseau ARGO, ne montrent aucune augmentation de chaleur entre 2003 et 2008. Willis a calculé une perte nette de -0.12 (0.35 x 1022 joules) par année (Pielke, Physics Today,55) du milieu de l’année 2003 jusqu’à la fin de 2008. Le Dr. Pielke a reçu la permission de Josh Willis pour étaler les données d’ARGO jusqu’à la fin de 2008)
Voir ici pour le réseau ARGO
Selon une analyse récente par des données d’ARGO par Craig, Loehle, un scientifique du Conseil national de l’Illinois pour l’amélioration de l’air et des rivières, la perte est -0.35 (0.02 x 1022 Joule par année du milieu de l’année 2003 à la fin de l’année 2007. (Voir : Loehle, 2009: “Cooling of the global ocean since 2003.” Energy & Environment, Vol. 20, No. 1&2, 101-104 (4)). Loehle a utilisé une méthode plus complète que Willis pour calculer la tendance, lui permettant de réduire la marge d’erreur.
Mes calculs sur la chaleur globale observée, montrés plus bas, sont basés sur la chaleur de la couche supérieure de l’océan. Ainsi, la chaleur de la couche supérieure représente 80 % du total de la chaleur observée, la chaleur totale observée est approximativement égale à 125 % ( 1/0.8 ) de la chaleur observée de la couche supérieure de l’océan.
Projection versus l’observation de chaleur accumulée, 2003-2006 (6 ans)Modèle :
La projection de l’accumulation globale de la chaleur :
Manque de chaleurLe graphique ci-dessous montre une augmentation du déficit de chaleur de la couche supérieure de l’océan de 2003 à 2008 basée sur les projections du GISS par Hansen, Willis, Schmidt et coll. Le tracé de l’accumulation actuelle de la chaleur est selon les données observées (avec ARGO) et montre la tendance linéaire globale (selon Willis et Loehle). Les fluctuations saisonnières et les barres erronées ne sont pas indiquées.
Voir ici pour le texte complet
Amicalement
Vinety