Salut les membres et les visiteurs
Note: Vous trouverez la source de ces graphiques ci-dessous : Petition project, par les auteurs:
Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon LA FERTILISATION DES PLANTES AVEC LE CO2Comment serait la concentration ultime de CO² atmosphérique si les humains continuaient d’augmenter l’usage de charbon, d’huile et de gaz naturel? Un équilibre ultime avec l’océan et les autres réservoirs ne sera probablement qu’une petite hausse.
Le réservoir qui pourrait modérer la hausse est spécialement important. La flore vivante nous apporte un grand puits pour piéger le CO². Utilisant les connaissances du rythme de croissance des plantes et en assumant que la hausse des émissions futures de CO² seront au même rythme que celui d’aujourd’hui, il a été estimé que le niveau de CO² atmosphérique pourrait hausser jusqu'à 600 ppm, avant de se niveler. À ce niveau, l’absorption de CO² par l’augmentation de la biomasse terrestre serait capable d’absorber 10 Gt C par année
(100). Présentement, cette absorption est estimée à 3 Gt C par année
(57). À peu près 30% de ces hausses projetées, de 295 à 600 ppm a déjà pris place, sans causer de changements climatiques défavorables. Plus de, l’effet radiatif du CO² est logarithmique
(101,102), toutefois plus de 40% de l’influence climatique est déjà une réalité.
Quand le CO² atmosphérique hausse, le rythme de la croissance des plantes augmente. Aussi, les feuilles transpirent moins et perdent moins d’eau, ce qui permet aux plantes de pousser dans un environnement plus aride. La faune animale, qui dépend des plantes pour s’alimenter, s’accroit proportionnellement.
Graphique 21 : Déviation standard de la moyenne de la largeur des cercles de croissance des pins bristlecone (a), des pins communs et des pins (fox tail) du Great Basin de Californie
Graphique 21 : Déviation standard de la moyenne de la largeur des cercles de croissance des pins bristlecone
(a), des pins communs et des pins (fox tail) du Great Basin de Californie. Nevada, et d’Arizona et
(b) des pins Bristlecone du Colorado
(110). La moyenne des largeurs des cercles de croissance a été prise dans des segments de 20 ans et ensuite normalisée, pour s’assurer que la moyenne des croissances des arbres avant ce segment était à zéro. Ces déviations des moyennes sont montrées en unité de déviations standard de celles-ci.
GRAPHIQUE 22 : Un inventaire des arbres de charpente (debout) (bois dur et bois mou) aux États-Unis, a été compilé avec les ressources forestières des Etats-Unis Un inventaire des arbres de charpente (debout)(bois dur et bois mou) aux États-Unis, compilé des ressources forestières des États-Unis, 2002, U.S. Department of Agriculture Forest Service
(111,112). La tendance linéaire citée en 1998
(1) de l’augmentation de 30 % a continué depuis. L’augmentation est maintenant à 40 %. La quantité du bois de charpente des É.U. augmente presque, de 1 % par année.
Vu que les plantes réagissent à la fertilisation du CO² presque linéairement avec la concentration au-dessus de l’écart de 300 à 600 ppm, comme vu sur le
graphique 23, mesures expérimentales à différents niveaux de CO², où l’enrichissement peut être extrapolé. Ceci a été fait sur le
graphique 24 de façon à illustrer la croissance due au CO².Accentuation calculés pour l’augmentation atmosphérique de 88 ppm qui a déjà eu lieu, et la progression qui peut être anticipée avec une hausse totale de 305 ppm.
GRAPHIQUE 23:
Un sommaire des données de 279 expériences publiées où des plantes de toutes sortes ont poussé sous des conditions doublement stressées (cercles rouges ouverts) et non stressés (cercles fermés bleus) Graphique 23: Un sommaire des données de 279 expériences publiées où des plantes de toutes sortes qui ont poussé sous des conditions doublement stressées
(cercles rouges ouverts), et non stressés
(cercles fermés bleus) (114). Il a eu
208, 50 et 21 blocs à 300, 600, et une moyenne de 1350 ppm de CO² respectivement. Le mélange de plantes dans les 279 études a été légèrement biaisé avec des plantes qui réagissent moins à la fertilisation aux CO², que l’actuelle diversité de la planète. Toutefois, le graphique sous-estime la réaction globale prévue. L’enrichissement du CO² favorise aussi la croissance dans des régions plus arides, qui accroissent la réaction.
Le graphique 23 résume 279 expériences avec des plantes de divers types qui ont poussé sous des conditions, où l’apport de CO² a été accentué. Des plantes sous des stress moins qu’idéaux, et sous les incidences de la nature, mais qui réagissent mieux à la fertilisation de CO². La sélection des espèces dans le
graphique 23, a été biaisée avec des plantes qui réagissent moins la fertilisation aux CO², que fait le mélange de plantes couvrant actuellement la planète, cela dit, le
graphique 23 sous-estime les effets de l’accentuation des effets globaux du CO².
GRAPHIQUE 24 : La croissance du blé est accélérée en accroissant le CO² atmosphérique, spécialement sous des conditions arides. Le
graphique 24 montre la réaction de la croissance du blé sous des conditions humides comparées à ce qui arrive quand le blé est stressé par le manque d’eau. Les données sous-jacentes viennent
d’expériences faites dans des champs ouverts. Le blé pousse de la façon habituelle, mais la concentration du CO² atmosphérique de sections circulaires des champs a été augmentée, en utilisant une
batterie d’équipements contrôlés par ordinateurs , qui relâchait du CO² dans l’air pour en maintenir le niveau spécifié
( 115,116). Aussi démontré, l’accentuation de la croissance d’orangers et de jeunes pins
(117-119) avec deux augmentations de CO², une qui a déjà eu lieu depuis 1885 et l’autre, et celle projetée pour les deux prochains siècles. L’accentuation de la croissance relative des arbres par le CO² diminue avec l’âge. Le
graphique 24 se réfère à de jeunes arbres.
Graphique 24 : Le calcul (1,2) de l’accentuation du rythme de croissance du blé, des orangers et de très jeunes pins qui a déjà eu lieu comme résultat de l’enrichissement du CO². Graphique 24 : Le calcul
(1,2) de l’accentuation du rythme de croissance du blé, des orangers et de très jeunes pins qui a déjà eu lieu comme résultat de l’enrichissement du CO² atmosphérique de 1885 à 2007 (a) et les résultats prévus d’un enrichissement par le CO² à un niveau de 600 ppm (b).
Clairement, la révolution verte en agriculture a déjà bénéficié de la fertilisation par le CO², et les bénéfices futurs vont être encore plus grands. La vie animale s’accroit proportionnellement comme montré par l’étude de
51 écosystèmes terrestres (120) et 22 aquatiques
(121). De plus, comme montré par une étude de
94 écosystèmes terrestres sur tous les continents, excepté l’Antarctique
(122), la richesse de la biodiversité des espèces est plus positivement corrélée avec la productivité et la quantité totale des plantes par acre, qu’avec n’importe quoi d’autre.
Le CO² atmosphérique est requis pour la vie des plantes et des animaux. C’est la seule source de carbone dans toutes les protéines, les hydrates de carbone, les gras, et les autres molécules organiques dont chaque être vivant est construit.
Les plantes extraient le carbone du CO² atmosphérique et sont de cette manière fertilisées. Les animaux obtiennent leur carbone des plantes. Sans CO² atmosphérique, la vie que nous voyons sur la terre ne pourrait exister. L’eau, l’oxygène, et le dioxyde de carbone sont les plus importants éléments qui rendent la vie possible.
Elles ne sont surement pas des polluants environnementaux.
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122. Scheiner, S. M. and Rey-Benayas, J. M. (1994) Evol. Ecol. 8, 331-347.
Amicalement
Vinety