Le méthane atmosphérique augmente-t-il ?

Salut les membres et les visiteurs

Note: Vous trouverez la source de ces graphiques ci-dessous:

Petition project, par les auteurs:
Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon

Graphique 20 :La concentration globale du méthane atmosphérique en partie par millions, ppm, entre 1984 et 2004 (94).


Le méthane est aussi un gaz à effet de serre mineur. Les niveaux du CH4 globaux sont tels que montrés sur le graphique 20, et présentement se stabilisent. En 2005, aux États-Unis, 42 % des méthanes anthropiques étaient produits par la production d’énergies issues des hydrocarbures, 28 % de la gestion des déchets, et 30 % de l’agriculture (95). Le montant total de CH4 produit des sources américaines, entre 1980 et 2005, a décru de 7 %. De plus, les registres montrent que même si la hausse du méthane croissait, la variation des températures était bénigne.





Ainsi, le graphique 1illustre très bien les données de températures des 3000 ans passés. Ce graphique fournit aussi un test pour les modèles d’ordinateurs. Les registres sur les températures historiques montrent que la terre s’est déjà réchauffée beaucoup plus que le CO² pourrait-t-il l’avoir causé lui-même. Puisque les cycles passés de réchauffement de la terre n’ont pas initié de réchauffements atmosphériques catastrophiques par l’intermédiaire des vapeurs d’eau le principal vecteur des GES, il est évident que les niveaux infimes du CO² ne pouvait le faire.

Le « réchauffement global anthropique ", souvent appelé « réchauffement global ", un hypothèse qui dépend entièrement sur des modèles d’ordinateurs qui générant des scénarios futuristes. Il n’y a pas de registres empiriques qui peuvent vérifier ces modèles ou leurs prédictions erronés (96).

Les prétentions (95) d’une épidémie de maladies issues d’insectes attribués à la hausse de la température, l’extinction massive d’espèces, l’inondation catastrophique des îles du Pacifique, l’acidification des océans, la hausse et la violence des ouragans, des tornades, et l’augmentation de décès humains causés par la hausse de température de 0.5 °C par siècle ne correspondent pas avec les observations des registres actuels. L’hypothèse du « réchauffement global anthropique » et les calculs des ordinateurs qui les appuient sont erronés. Ils n’ont aucun support empirique et sont de plus invalidés par de nombreuses observations.

BIBLIOGRAPHIE

94. Khalil, M. A. K., Butenhoff, C. L., and Rasmussen, R. A. (2007) Environmental Science and Technology 41, 2131-2137.

95. Annual Energy Review, U.S. Energy Information Admin., Report No. DOE/EIA-0384 (2006).

96. Essex, C., Ilie, S., and Corless, R. M. (2007) J. Geophysical Res., in press

Amicalement

Vinety