Les conséquences économiques des activités d’Al Gore

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Traduit de l’anglais par Vinety le 19 avril 2009.







Saint Al Goracle

Par John Fund

Les producteurs irlandais de documentaires filmés, Phelim McAleer et Ann McElhunney ont déjà suscité des émois en démystifiant l’hypocrisie et l’attitude méprisante des libéraux. Leur dernier film : "Not evil, Just wrong" ( Pas maléfique, seulement erroné) s’en prend à l’hystérie suscitée par les propagateurs du RCA et les préviennent que se hâter à juger ceux qui sont sceptiques et combattent les changements climatiques, menaceraient les pauvres de la planète.


Ce film nous rappelle que les environnementalistes se sont trompés dans le passé, surtout, quand ils ont convaincu la planète de bannir le pesticide "DDT", coutant la vie à d’innombrables victimes de la malaria. Le "ban" a été finalement renversé par l’Organisation mondiale de la santé, et seulement après des décennies de débats. Les deux producteurs de films irlandais, argumentent que si les conseils d’Al Gore de réduire radicalement les émissions de carbone sont suivis, ça serait la condamnation de deux-milliards d’humains de la planète, qui n’a même pas commencé à activer leur premier bouton électrique, à se priver d’électricité.

McAleer et McElhinney ont déjà insérés plusieurs aiguilles dans la pelote à épingles des environnementalistes prétentieux et outrecuidants. En 2007, ils ont produit un documentaire appelé "Mine Your Own Business," (mêlez-vous de vos affaires), qui relatait l’histoire d’un pauvre village tsigane, où les environnementalistes ont combattu le projet d’ouvrir une mine d’or. Ce village, où le chômage était à 70 %, avait un besoin désespéré de l’investissement d’un milliard de dollars pour ce projet, qui prévoyait créer plus de 600 emplois.

Mais les environnementalistes l’ont bloqué, pour la raison suivante, "ce projet va polluer un environnement virginal." Monsieur McAleer, alors un journaliste pour le "Financial Times, se considérait lui-même un environnementaliste. Mais quand il a couvert l’évènement pour son journal, il a dit, "j’ai constaté, qu’à peu près tout ce que disaient les environnementalistes sur le projet, étaient mensonger, exagérés ou simplement pas mal erronés



Les deux producteurs de films sont habitués à utiliser des tactiques publicitaires provocantes.
Le 22 avril 2009, ils vont offrir une projection publique de leur dernier film à l’école élémentaire Rachel Carson, de la banlieue de Seattle. "Comme l’a dit monsieur McAleer, Rachel Carson étant celle qui a déclencher la campagne pour le bannissement du DDT, nous avons pensé que projeter ce film "Not evil, Just wrong" devrait être apprécié d’elle..

Les environnementalistes locaux ne vont pas apprécier le geste et vont être choqués que l’école acquiesce à louer son auditorium à des renégats sceptiques. Mais quelques-uns vont surement mentionner que ce n’est pas maléfique, mais seulement approprié, de tenir un débat sur les vraies conséquences économiques planétaires, d’agir sur les peurs du RCA.