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 Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale

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Vinety
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Vinety


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MessageSujet: Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale   Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale Icon_minitimeVen 28 Nov - 23:41

Salut les membres

Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1819_urgence_crise_economique_environnementale.php

20/11/2008

crédit : OMM

La société humaine se dirige ....d’éducation différents sont requis, afin de réconcilier les êtres humains avec le reste de la nature, ajoute-t-il.
-----------------------------------------

Ma réponse à cet article par VInety

Citation :
La société humaine se dirige de manière dangereuse au-delà des limites naturelles de la planète Le changement climatique, la rareté de l’eau et de la nourriture, la sécurité énergétique et les dangers de la pollution sont parmi les problèmes urgents, de surcroît en cours d’aggravation accélérée, concernant la globalité du système qu’est la Terre.

Quelle est cette limite naturelle de la planète.

Citation :
1- Le changement climatique :

Les changements climatiques ne sont pas différents de ceux qui se sont produits lors de notre ère, (de l’an 0 à 2000) ou celle qui l’a précédé, autre que l’alarmiste entretenu par l’écocratie.

Citation :
2- La rareté de l’eau et de la nourriture.

L’eau demeure l’élément le plus commun sur la planète, en fait tellement commune qu’il recouvre plus de 70 % de la surface de la planète. Malgré que la population augmente, sa consommation ne rend pas cette disponibilité amenuisée d’autant. Avec les technologies disponibles, le monde n’a jamais été aussi près d’un niveau d’eau douce sans précédent pour étancher la soif des humains et les besoins pour la culture des plantes nécessaire pour le nourrir. Ce n’est qu’une question de disponibilité locale et aussi saisonnière.

Depuis que les civilisations existent, elles ont toutes eu à souffrir de famine, causée par des sècheresses locales et inhabituelles. Même, à des niveaux démographiques la moitié de la démographie contemporaine, des populations entières mourraient à cause du manque de pluie et de l’incapacité de faire poussé les céréales, absolument indispensables à la survie de l’homme. Ce manque d’eau douce saisonnier ou annuel, était la cause de guerres épouvantables pour s’accaparer des moissons des pays qui ne souffraient pas de ce fléau.
Aujourd’hui, même si les humains consomment de plus en plus d’eau douce à cause de la démographie actuelle, il y a peu de personnes comparativement à ces temps, qui meurent de soif ou de faim à cause de ces pluies qui sont affectées périodiquement par l’évolution chaotique du climat terrien. Mais aujourd’hui, avec la mondialisation des échanges, il n’y a que les guerres locales et tribales qui empêchent ces échanges de nourrir le monde.

La nourriture n’a jamais été autant disponible pour la majorité de l’humanité qui n’a jamais été à ce jour aussi bien nourrie, malgré que certains pays comme l’Afrique ait de la difficulté à nourrir sa population à cause de la pauvreté chronique, causée par des idéologies différentes et les guerres fratricides qui en découlent et de la difficulté qu’on les transports maritimes, à cause de la piraterie sur la mer jouxtant son littoral de l'océan Indien et les guerres tribales au sol qui paralyse le transport des biens de consommation.

Citation :
3- La sécurité énergétique

La peur de la sécurité énergétique est savamment entretenue par ceux qui contrôlent cette disponibilité. Personne ne connait réellement cette disponibilité et les ressources qui existent en énergies fossiles. Les technologies d’exploitation des puits de pétrole n’arrivent qu’à pomper que 20 % des nappes pétrolifères. Aujourd’hui, avec la mise à jour de nouvelles technologies de forage, on prévoit qu’on pourra pomper 40% des nappes actuelles. Ce qui d’un coup en double la disponibilité. Mais il en reste quand même 60 % des nappes qui dorment encore dans le sous-sol, ce qui veut dire encore plus de pétrole disponible pour assouvir nos besoins énergétiques jusqu’au-delà des années 2250, sans compter les nouveaux puits qui ne sont pas encore découverts et toutes les énergies toujours disponibles quand sera venu le temps de les exploiter.

Citation :
4- La pollution :

La pollution à toujours été un problème local et ponctuel, et à toujours été résous à mesure de ses méfaits résultants de l’urbanisation. Il y aura toujours des problèmes de pollution engendrés par l’industrie humaine.

Citation :
5- Aggravation accélérée, concernant la globalité du système qu’est la Terre.

Une idée qu n’a pas de sens, car personne ne connait la réalité terrestre et de ce qu’on en connait, et est surtout l’idée que l’on s’en fait, issues de quelques découvertes parcellaires de recherches orientées dans le sens de l’alarmiste des environnementalistes surfant sur une idée dogmatique de la terre, plus près d’une religion (Gaïa) que de la réalité scientifique.

Citation :
C’est ce que confirment les participants au sommet organisé par le Programme International Géosphère-Biosphère (PIGB) et le Partenariat des Sciences du Système Terrestre. Ils notent le fait alarmant, selon les mesures récentes, de l’émission globale de carbone qui a crû plus vite que ce qui était prévu dans les scénarios du GIEC ne datant que de 5 ans.

Les émissions de carbone sont un bienfait pour les humains. Sa croissance est aussi une aubaine pour la croissance des plantes pour l’alimentation des humains. Cependant, l’émission de CO² atmosphérique est une aubaine pour les bourses du carbone et ses propagateurs. Tous les programmes de Kyoto sont voués à l’échec, car même depuis sont instauration, le CO² vas continuer à augmenter, jusqu’au point où il sera absorbé par la biomasse terrestre. Il pourrait doubler ou tripler sans pour autant affecter le climat ou la santé de la vie terrestre.

Citation :
Aujourd’hui, les conséquences de la crise financière menacent le système économique. Les conséquences de la crise du système écologique seront bien pires dans un laps de temps juste un peu plus long, fait remarquer le professeur Thomas B Johansson, expert en énergie de l’Université Lund. Alors qu’il est question de régler un problème à court terme, il faudrait saisir l’opportunité de régler ces problèmes de long terme, ajoute-t-il.

Bien dit, mais aussi cette crise financière pourrait aussi envoyer aux oubliettes le protocole de Kyoto et le besoin du GIEC, et j’espère pour longtemps.

Citation :
Les nouveaux accords économiques peuvent et doivent tenir compte des limites naturelles et mettre le rétablissement global sur une voie plus économe en carbone et ressources. Sur la base des tendances économiques récentes, il devrait y avoir une augmentation globale des températures de 4 à 6 degrés d’ici 2100, niveaux considérés comme catastrophiques selon le GIEC.

Les limites naturelles n’existent que dans le dogmatisme écocratique. La consommation de carburants fossiles malgré son incidence (polluantes des suies, pas du carbone) est toujours à ce jour l’énergie la plus facilement disponible et la meilleure marché. Si elle vient à manquer, peut-être dans quelques centaines d’années, nous aurons toujours le nucléaire pour des milliers d’années et ensuite, il restera toujours le soleil, qui est quand même la mère de toutes les énergies fossiles et dynamiques qui existent sur la terre.

Quant à l'augmentation de 4 à 6 degrés d'ici 2100, cette augmentation n'est que l'hypothèse la pire d'un modèle du GIec! Pourquoi ne pas choisir le modèle le moins pire parmi les 20 modèles proposés par GiEC. Un de ces modèles n'affiche aucun changement dans la tendance actuelle de la hausse de .5 degrées C par siècle? Serait-il moins utile pour alarmer la population et qui de ce fait ignorerait vos prédiction de fin du monde?

Citation :
Des sociétés plus vertes permettraient de réviser les risques à la baisse tout en procurant une meilleure qualité de vie, en éliminant la pauvreté et en favorisant la cohésion sociale.

Il faudra définir ce qu’est une société plus verte avant d’en vanter ses bienfaits. Les hommes sont naturellement "verts" et l’ont toujours été, car il sont aussi verts que les plantes qui les entourent et les nourries. Comme la balance du vivant, il cherche tout naturellement sa place dans cet univers pas aussi "vert" et idéaliste que certains le disent ou le pensent.

Citation :
A contrario, l’utilisation de la mesure conventionnelle de croissance par le PIB comme principal indicateur des politiques nationales a gravement induit en erreur, déclare le professeur Robert Costanza, économiste écologique à l’Université du Vermont. De nouvelles politiques devraient s’attacher à résoudre les problèmes en utilisant une approche intégrée des systèmes de la Terre, incluant toutes les interactions de l’homme avec l’environnement.

Les politiques sont celles que réclament les citoyens. Le PIB est une mesure tout aussi fiable que celle éthérée de l’écocratie. Au moins, elle a le mérite de mesurer la richesse collective d’une société. L’homme est en continuelle intégration avec ce que la terre peut lui fournir pour survivre. Même la terre ne peut lui donner ce qu’elle na pas. L’environnement humain est celui qu’il crée et que le rend heureux,

Citation :
Le sommet, une activité de l’initiative de recherche « La planète en 2050 » du PIGB, réunit quatre groupes de travail : technologie énergétique, utilisation de terres, culture-développement-économie, et échanges avec le système Terre, dans le but de définir des visions souhaitables de la planète en 2050 et identifier les moyens, obstacles et opportunités. Il publiera bientôt un rapport public.

Le sommet ne dessert que les intérêts de certains groupes spécifiques.

Citation :
La situation requiert une action urgente, l’équivalent d’une mobilisation de temps de guerre.

Où est l’urgence, autre que d’alarmer la population et de faire prendre par les décideurs des décisions qui vont dans le sens de l’écocratie mondiale, ou décisions pour satisfaire les besoins immédiats des citoyens dans leur environnement immédiat et locale, qui sont très différents d’une population à une autre.

Citation :
Il s’agit de mettre en œuvre des solutions collectives à travers de meilleures politiques gouvernementales, de meilleures pratiques industrielles et de meilleurs comportements de la part des consommateurs.

Donc, selon l’évangile de l’écocratie, tout un et chacun devront faire pénitence pour effacer leurs péchés vis–à-vis la nouvelle morale se l’écocratie.

Citation :
Des mesures immédiates sont aujourd’hui indispensables, rappelle le professeur Guy Brasseur, de l’US National Center for Atmospheric Research et un des initiateurs de la rencontre.

Je me demande comment des mesures fantaisistes comme la baisse de l’émission de CO², pourraient changer le processus naturel en marche du climat qui a toujours fluctué, quand le CO² n’a jamais eu de conséquences sur le climat global et que les scientifiques les plus chevronnés ne savent toujours pas ce que devrait être le niveau optimal du CO² atmosphérique?

Citation :
A long terme, des systèmes d’éducation différents sont requis, afin de réconcilier les êtres humains avec le reste de la nature, ajoute-t-il.

Pour en faire des petits soldats obéissant et imbu d’une philosophie dérangeante, et surtout qu’ils n’oseront plus penser par eux-mêmes, car cela irait à l’encontre des dogmes des écocrates. Quoi, un retour au moyen âge et la sainte inquisition?

Vinety
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MessageSujet: Re: Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale   Nécessité d’une réponse collective urgente et coordonnée aux crises économique et environnementale Icon_minitimeVen 12 Déc - 16:54

Salut Tilt

Tilt :
Citation :
Je trouve que tu passes un peu vite tous les problèmes de pollutions chroniques en détruisant ainsi les thèses écoratiques. Celles sont en grande partie fondée sur des arguments peu recevables, mais elle ont pour bon côté de permettre de réfléchir sur des problèmes qu'on prenait jusqu'ici comme la fatalité.

J’aime bien que tu utilises le terme "écocratique" pour identifier ceux qui abusent des mots et des connotations pour identifier un problème "écologique", car effectivement c’est de ce domaine qu’il s’agit. En utilisant des arguments peu recevables et pour la plupart du temps exagérés pour amplifier un problème de pollution réel et lui donner plus de poids pour convaincre la population de leur intentions vertueuses, qui pour la plupart du temps ne servent qu’à cacher leurs intentions réelles, qui est politiques et monétaires.

Ces arguments me font penser que les penchants humains les plus vils sont utilisés pour valider des actions qui n’ont rien à voir avec le problème soulevé, mais servent de levier pour faire pencher l’opinion publique sur leur bord. Ce manège est de la manipulation et avilie la connotation scientifique qu’on lui associe. Ce n’est que de la propagande à la Lyssenko pour nous faire passer pour des valises. Les seuls qui en retire vraiment un profit, n’est pas la population, mais bien quelques entités qui s’arrogent un pouvoir démocratique qui appartient au peuple et qui lui, décide qui le représentera.

On en vient à penser que ce sont les Al Gore, Kyoto, l’ONU, les Greenpeace, les Sea Shepperds, les WWF qui décide pour les politiciens élus par nous. On en est même à noter les décideur, sur la couleur de leur obédience à Kyoto ou leur implication dans leur efforts pour réduire le CO², que l’écocratie identifie comme un polluant, et surtout pour les GES, qui sont supposés réchauffer le climat. Il semble, que les cycles climatiques naturels qui ont toujours contribués au réchauffement ou au refroidissement climatique du passé ont disparus soudainement par enchantement et n’existent plus et que maintenant nous serions les seuls responsables de ces changements? Franchement, on nous prend pour des valises?

Tilt :
Citation :
Comme la pollution par exemple. Considère tu vraiment que les pollutions au plomb sont une "fatalité" ? Ainsi que celles dues aux surplus d'engrais ?

La réglementation concernant l’usage de plombs dans la peinture utilisée pour les jouets des enfants est bien appliquée dans tous les pays, et aucun enfant n’est mort ou à été récemment affecté par ce problème. Donc un problème de pollution au plomb résolu. Concernant les engrais, le surplus sont pour la plupart lessivés et coulent dans nos rivières ou dans nos cours d’eau. Encore là, les ministères sont au courant de ce problème et les scientifiques qui travaillent pour eux savent mieux que les activistes comment gérer ce problème.

Tilt :
Citation :
Considère tu vraiment que l'homme n'a "aucune influence sur la biosphère" quand ont voit les surfaces victimes de déforestation ? Ou quand on constate l'extinction du dauphin d'eau douce chinois ?

Concernant les surfaces qui sont victime "sic" de la déforestation, justement parlons-en. La France lors de la conquête des Romains était couvertes de forêts. Ces forêts ont été coupées dès leur arrivés, pour faire de la terre et produire du blé ou utiliser les arbres comme carburant ou pour en faire des meubles et des maisons. Vers le 15 ième siècle, elles ont pratiquement disparus,. Avec l’amélioration des rendement des cultures et l’urbanisation, ses forêts on repoussés et occupent maintenant plus de 40% de la surface de la France. On récolte les arbres d’une forêt comme on récolte le blé d’un champ. Un arbre comme le blé est une plante qui pousse et qui a une vie limitée à l’espèce, qui peut varier de 50 ans à 1000 ans selon le type d’arbre. La plupart vivent moins de 200 ans.

Par exemple, l’épinette noire, espèce qui pousse dans la forêt boréale, est mature entre 70 ans et 100 ans. Si on ne la récolte pas, elle pourrira ou sera détruite par les feux de forêts qui sont allumés régulièrement par la foudre. Donc, même si les hommes ne coupent pas la forêt, elle sera continuellement remplacée par la nature. Quand on la rase, elle repousse d’elle-même, et dans 60 à 70 ans, il y aura une autre forêt à récolter. Si par hasard, le papier tiré de ces arbres est remplacé par un autre type de matériau, les forêts continueront à pousser et brûler régulièrement, et retrouveront la forme qu’elles avaient avant que les hommes l’utilisent

Tilt :
Citation :
Que les pétrole est une valeur sur quand nous somme obligé de l'importer alors que des énergies renouvelables nous assureraient une sécurité énergétique ? Le nucléaire est effectivement une solution d'avenir. extraire de l'uranium de l'eau de mer est effectivement inconcevable pour le moment en terme de rentabilité.

La France n’a pas de ressources fossiles ou à peu près pas. Si la France utilise le nucléaire pour générer de l’électricité, c’est que malgré les pressions anti-nukes et le peu de cours d’eau aptes à produire de l’hydro électricité, elle n’a pas le choix, c’est le"nuke" ou la dépendance sur les autres pays limitrophes pour l’électrifier.

Mais son passage au "nuke" qui fournit 80% de son électricité et pour la cerise sir le gâteaux, un revenu de 3 milliards d’Euros en vendant les surplus de sa production aux pays limitrophes. 45% du pétrole pompé va aux transports. Pour que la France soit indépendante vis-à-vis le pétrole ou les carburants liquides ou gazeux, elle n’a pas d’autres choix, que miser sur une troisième ou quatrième génération de centrales nucléaires.

Là, elle pourrait produire de l’hydrogène ou liquéfier le charbon importé d’ailleurs. Les filières éoliennes, hydroliennes, solaires, marémotrice, ne pourra changer son statut énergétique, électrique qui est actuellement comblée par son réseau nucléaire. Nous avons suffisamment de sources pétrolifères facilement accessible pour à peu près 40 à 50 ans. Un laps de temps suffisamment long, 2 générations, pour que la technologie et les découvertes scientifiques puissent résoudre ce problème. Une question technologique, économique et de GBS. La France avec son parc nucléaire, sa flopé d’ingénieurs et de physiciens nucléaires, est en avance sur presque tous les pays qui utilisent déjà cette filière. C’est à elle de profiter de son avance technologique et de ne pas se laisser influencer par la pressions des activistes anti-nukes, qui sont tout a fait ignorants de la réalité économique et technologique. Ce n’est pas eux qui doivent imposer leur dictats, mais bien les dirigeants démocratiquement élus par la majorité.

Tilt :
Citation :
Je ne dis pas que tout est bon, mais tout n'est pas mauvais non plus, vouloir réduire la pollution n'est en rien une action condamnable.

Tu as parfaitement raison, résoudre les vrais problèmes de pollution est vertueux. Ce qui est mauvais, c’est de se servir d’un pseudo problème de pollution pour alarmer la population et lui faire accroire que la fin du monde est proche, si on laisse les élus s’en occuper.

Tilt :
Citation :
Quand à penser que l'humanité va s'autoréguler... on a toujours aucune preuve...

La vie elle-même est une preuve incontestable. Connais-tu seulement une seule espèce qui s’est tellement multiplié, qu’elle s’est éteinte d’elle-même? D’où l’autorégulation.

Tilt :
Citation :
Pour les matière première, si le monde se décidait à consommer autant que nous, il nous faudrait grosso modo 3 Terre... donc la logique voudrait, même si ne n'est pas le cas encore, que nous soyons économe. On évite en plus pas là les problèmes de pollutions lors de la fabrication et lorsque les produits sont abandonnés.

Faux archi faux. Un grand sophisme qu’il faut rapidement de débarrasser. La terre peut soutenir la vie de 20 milliards d’humains, qui donnerait une densité de population de 125 individus par klm², soit encore 3.6 fois moins que l’Inde actuelle. Densité que les démoraphes prédisent pour les années 2050. La densité moyenne des humains sur la terre est de 31 individus par klm². Une densité de l’Inde est de 450 ha/klm²., la Chine 140 ha/klm². Au Canada, la densité est de 3 par klm². En France, la densité est de 60 personnes par klm². La ville de New York a une densité de 10,300 habitants par klm². Paris.20,430 par klm², une des villes dont la densité de la population est la plus grande. Montréal, seulement 4500 ha, par klm².

Il faudrait m’expliquer pourquoi l’Inde peut nourrir sa population actuelle qui n’a jamais de tous les temps été si bien nourri et que la terre entière avec une densité de population 3.6 fois moindre que l’Inde qui est un pays pauvre, ne pourrait pas dans 40 ans nourrir ses habitants?

Il y a surement une explication ou on nous roule dans la farine.

Amicalement

Vinety
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