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 Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril, sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta.

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Vinety
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Vinety


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Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril,  sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta. Empty
MessageSujet: Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril, sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta.   Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril,  sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta. Icon_minitimeMar 23 Déc - 17:40

salut les membres

Ce poste est le troisième, sur mes commentaires des comptes-rendus de presse sur les GES ou les articles associées.


Citation :
Au revoir, énergies vertes! Énergies alternatives

http://www.cyberpresse.ca/environnement/economie/200812/23/01-812685-au-revoir-energies-vertes.php

Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril,  sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta. 35866



Hélène Baril
La Presse

Citation :
La chute brutale du prix du pétrole est peut-être un répit pour le consommateur moyen, mais elle aura comme conséquence de reporter l'utilisation des sources d'énergie alternatives dans la vie de tous les jours.

«L'incitation est pas mal moindre pour le consommateur et les entreprises qui développent ces pistes de solutions vont avoir de la difficulté à percer dans le marché», estime Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta.

À 40$US le baril, le développement de substituts au pétrole devient moins urgent pour tout le monde. Les entreprises qui misent sur le long terme auront aussi plus de mal à financer leurs activités à cause de la crise du crédit, qui s'ajoute à la faiblesse du prix du pétrole.

M. Doucet a parfaitement raison. La recherche actuelle sur les énergies renouvelables est actuellement artificiellement dopé par le discours alarmiste antiémissions de CO² qui soi-disant est un GES qui serait responsable d’un supposé réchauffement climatique qui éventuellement perturberait le climat terrestre et serait déjà responsable de toutes les catastrophes climatiques en cours. Réchauffement, dont on ne peut réellement constater la présence, malgré les milliards de $ investis dans toutes sortes de projets scientifiques pour en prouver l’existence. Malheureusement pour eux, malgré tous les articles qui sont écrits sur ce thème, les satellites climatiques orbitant autour de la terre, ne peuvent détecter ce réchauffement tant annoncé par les modèles du GIEC. C’est tout le contraire, suivant le graphique ci-dessous, depuis avril 2005, la tendance d’aujourd’hui tend vers un refroidissement et non un réchauffement tel que mentionné par les modèles du GIEC.
Mes commentaires sur le reportage d’Hélène Baril,  sur une interview avec Joseph Doucet, spécialiste en énergie de l'Université de l'Alberta. Anomal10



Citation :
Autre conséquence de la chute des prix, les entreprises ont réduit radicalement leurs dépenses d'exploration et de production, notamment au Canada où les coûts de production de pétrole bitumineux sont très élevés.

Plusieurs analystes estiment que les entreprises actives en Alberta ont besoin d'un prix supérieur à 80$US pour rentabiliser leurs activités. C'est plus compliqué que ça, croit pour sa part Joseph Doucet, parce que tous les projets ont des seuils de rentabilité différents. «Mais à 35$US le baril, tout le monde commence à avoir chaud», reconnaît-il.

M. Doucet a encore parfaitement raison. Tant que le prix du pétrole sera aussi bas qu’il est maintenant, l’industrie ne pourra dégager suffisamment de liquidités pour investir dans l’exploration de nouvelles sources de pétrole régulier, ni pour exploiter d’autres sortes de gisement moins rentables, mais qui pourraient satisfaire la demande si le prix du brut augmente. De plus, au prix actuel, personne ne payera plus cher pour une énergie quelconque, même si celle-ci produit moins de CO². Personne n’est assez bête pour ça.

Citation :
La réduction de l'activité des entreprises pétrolières en Alberta donnera un coup de frein brutal à l'économie de la province mais après plusieurs années de surchauffe, ce répit sera salutaire, selon le spécialiste. «Plusieurs des projets retardés n'auraient pas pu se réaliser de toute façon, en raison de la pénurie de main-d'oeuvre.»

Mais la réduction des dépenses d'exploration laisse présager que l'offre sera insuffisante pour satisfaire la demande quand l'économie mondiale redémarrera.

Tout a fait d’accords et présentement ce sont les Canadiens qui payeront la note de cette baisse, surtout face à la crise économique actuelle, où tous les revenus gouvernementaux seront alloués pour absorber cette crise et où le gouvernement devra peut être s’endetter, au lieu de dégager des revenus avec l’exploitation des sables bitumineux de l’Alberta, qui emplie la caisse commune de milliards de $. Dans ce cas-ci, la hausse de prix du baril du pétrole serait la bienvenue et faciliterait l’administration du pays.

Citation :
Le prix du pétrole risque de rebondir à des niveaux très élevés. «Ça va faire mal», dit Joseph Doucet. Le pétrole est un secteur de hauts et de bas. On devrait y être habitués. C'est vrai, selon lui, mais l'ajustement est de plus en plus difficile parce que la marge entre l'offre et la demande est plus mince qu'elle ne l'a jamais été. Le pétrole est devenu plus coûteux à trouver et à exploiter et les risques de chocs de prix sont accrus.

C’est justement l’offre et la demande du marché qui va réellement décider de l’avenir énergétique. Ce n’est pas l’émission de CO² qui va changer cet état de choses. Tout est une question de prix et de disponibilités. Quand la filière pétrole sera épuisée, il restera le nucléaire qui pourra avantageusement le remplacer ou le produire, avec les gisements quasi inépuisables de charbon, dont on peut assez facilement le transformer en carburant.


Citation :
Malgré cette tension, le professeur ne croit pas à la théorie du peak oil. Le pétrole est une ressource non renouvelable, mais les théoriciens du peak oil ignorent les efforts d'exploration et les alternatives qui viennent avec les prix élevés, selon lui. «J'ai 49 ans et j'espère vivre très vieux. Je crois qu'il y aura toujours du pétrole à la fin de ma vie.»

Tout a fait d’accord avec M. Doucet. Les théoriciens du (peak oil) ont depuis de décennies prévus un (peak oil) pour 30 ans à venir. Il y a trente ans, ils prévoyaient un (peak oil) pour aujourd’hui et aujourd’hui, ils le repoussent encore de 30 ans et certains à 47 ans? Qui dit vrai?

Amicalement

Vinety
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