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 Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde)

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Vinety
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Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde) Empty
MessageSujet: Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde)   Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde) Icon_minitimeDim 9 Aoû - 15:55

Salut les membres et les visiteurs

Note: Vous trouverez la source de ce graphique ici:

Petition project, par les auteurs:
Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon

Graphique 14 : En bleue, les mesures des températures de la stratosphère prisent par les satellites à micro-onde dans l’hémisphère sud, entre 0 et 82,5 N, de l’hémisphère sud entre 0 et 82.5 S, des tropiques entre 20S et 20N, et la planète entre 82.5N et 82.5S, entre 1979 et 200

Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde) 09080903023299036

Graphique 14 : En bleue, les mesures des températures de la stratosphère prisent par les satellites à microonde dans l’hémisphère sud, entre 0 et 82,5 N, de l’hémisphère sud entre 0 et 82.5 S, des tropiques entre 20S et 20N, et la planète entre 82.5N et 82.5S, entre 1979 et 2007[color/red] (29),[/color] et en rouge, les mesures prises dans les tropiques par les ballons radio .
Les mesures prises par les ballons confirment la technique des satellites. (29-31). Les anomalies thermiques de 1997-98 en gris causés par El Nino, selon les tendances générales, est non reliées aux émissions de CO² (32).

Les rapports des températures des É.U. montrent deux tendances à la hausse intermédiaires d’ampleurs comparables, une qui s’est manifestée avant l’augmentation par 6 fois de l’usage des hydrocarbures, et une, qui a été mené en 1970, résultant de la peur croyant à l’éminence d’une nouvelle ère glaciaire. Et cette baisse de la température s’est produite durant une période où l’usage des hydrocarbures a triplé.

Sept rapports indépendants, radiation solaire, l’Arctique, l’hémisphère nord, mondial et la moyenne annuelle des températures de surface et de l’ai, le niveau de la mer, et la longueur des glaciers. Tous présentent ces trois tendances intermédiaires, telles que montrées dans le graphique 13 . Ces tendances se confirment l’une et l’autre. La radiation solaire correspond à ceux-ci. L’usage des hydrocarbures n’a pas d’incidence semblable.


Les tendances haussières intermédiaires de la température entre 1980 et 2007 montrées dans le graphique 13 sont similaires à celles montées dans le graphique 14 montrant les mesures stratosphériques prises par les ballons et les satellites. Cette tendance est plus prononcée dans l’hémisphère nord que celle du Sud. Contrairement aux modèles climatiques montrant le réchauffement par le CO², où la température troposphérique ne monte pas plus vite que celle de la surface.

Le [/color=blue]graphique 6 [/color]illustre les magnitudes de ces changements de température en comparant les 0.5°C d’augmentation par siècle, après que la terre s’est remise de la petite ère glacière, la tendance moyenne de 50 ans de températures de surface de l’océan Atlantique dans la mer de Sargasse sur les 3000 ans passés, les écarts moyens des variations diurnes et nocturnes dans l’Oregon, et la variation des écarts nocturnes, diurnes et saisonniers sur toute la terre. Le changement de température des deux siècles passés est petit.

La température troposphérique mesurée par satellite nous donne une couverture géographique facile à saisir. Même les mesures par satellites, contiennent aussi, des fluctuations à court et à moyen terme plus grand, que les tendances légèrement plus chaudes jaugées par les satellites. Les tendances calculées varient significativement en fonction des fluctuations les plus récentes et des longueurs des séries de données, qui sont courtes.

Le graphique 3 montre la partie la plus récente du réchauffement, après la petite ère glaciaire, avec de plus de détails avec la région de température de l’air arctique tel que comparé au rayonnement solaire du graphique 5 , pour la température de la surface des É.U. Il y a une corrélation très proche entre l’activité solaire et la température et aucune, entre l’utilisation des hydrocarbures et la température. Plusieurs autres études sur une grande variété d’intervalles de temps ont trouvé des corrélations similaires entre le climat et l’activité solaire (15, 34 à 39). Le graphique 3 illustre aussi les incertitudes introduites par des rapports de temps limités. Si les données de la température de l’air arctique avant 1920 n’étaient pas disponibles, essentiellement, aucune tendance haussière de la température ne pourrait être observée.

Température de la stratosphère de 1979 à 2007, (satellites micro-ondes et ballons-sonde) 090809023937554831


Cette variation observée dans l’activité solaire est typique des étoiles semblables à la grosseur et l’âge du soleil (40). La tendance du réchauffement de Mars (41), Neptune (43,44) Triton, la lune de Neptune (45), et Pluton (46-48) résulte peut-être, en partie, de relations similaires avec le soleil et son activité, comme celle qui chauffe la terre.

L’usage des hydrocarbures et les CO² atmosphériques ne correspondent pas du tout avec les températures observées. Les activités solaires correspondent très bien. Une corrélation ne prouve pas un causalisme, mais une corrélation inexistante prouve une causalité inexistante.
L’usage des Hydrocarbures par les humains ne réchauffe pas la terre de façon mesurable. De plus, il y a des théories et de modèles empiriques puissants qui démontrent les effets chauffants et refroidissant de l’activité solaire. (8, 19, 49-50). Les données expérimentales ne prouvent pas que l’activité solaire soit le seul phénomène responsable des fluctuations substantielles des températures terrestres, mais ils montrent que l’usage des hydrocarbures par les humains n’est pas parmi ces phénomènes.

BIBLIOGRAPHIE

8. Soon, W. (2005) Geophysical Research Letters 32, 2005GL023429.

15. Tan, M., Hou, J., and Liu, T. (2004) Geophysical Research Letters 31, 2003GL019085.


19. Soon, W. (2007) private communication.

29. Christy, J. R., Norris, W. B., Spencer, R. W., and Hnilo, J. J. (2007) J. Geophysical Res. 112, 2005JD006881. http://vortex.nsstc.uah.edu/data/msu/t2lt/uahncdc.

30. Spencer, R. W. and Christy, J. R. (1992) Journal of Climate 5, 847-866.

31. Christy, J. R. (1995) Climatic Change 31, 455-474.

32. Zhu, P., Hack, J. J., Kiehl, J. T., and Bertherton, C. S. (2007) J. Geophysical Res., in press.

34. Friis-Christensen, E. and Lassen, K. (1991) Science 254, 698-700.

35. Baliunas, S. and Soon, W. (1995) Astrophysical Journal 450, 896-901.

36. Neff, U., Burns, S. J., Mangini, A., Mudelsee, M., Fleitmann, D., and Matter, A. (2001) Nature

411, 290-293. 37. Jiang, H., Eiríksson, J., Schulz, M., Knudsen, K., and Seidenkrantz, M. (2005) Geology 33, 73-76.

38. Maasch, K. A., et. al. (2005) Geografiska Annaler 87A, 7-15.

39. Wang, Y., Cheng, H., Edwards, R. L., He, Y., Kong, X., An, Z., Wu, J., Kelly, M. J., Dykoski, C. A., and Li, X. (2005) Science 308, 854-857.

40. Baliunas, S. L. et. al. (1995) Astrophysical Journal 438, 269-287.

41. Fenton, L. K., Geissler, P. E., and Haberle, R. M. (2007) Nature 446, 646-649.

43. Hammel, H. B., Lynch, D. K., Russell, R. W., Sitko, M. L., Bernstein, L. S., and Hewagama, T. (2006) Astrophysical Journal 644, 1326-1333.

44. Hammel, H. B., and Lockwood, G. W. (2007) Geophysical Research Letters 34, 2006GL028764.

45. Elliot, J. L., et. al. (1998) Nature 393, 765-767.

46. Elliot, J. L., et. al. (2003) Nature 424, 165-168.

47. Sicardy, B., et. al. (2003) Nature 424, 168-170.

48. Elliot, J. L., et. al. (2007) Astronomical Journal 134, 1-13.

49. Camp, C. D. and Tung, K. K. (2007) Geophysical Research Letters 34, 2007GL030207.

50. Scafetta, N. and West, B. J. (2006) Geophysical Research Letters 33, 2006GL027142.

Amicalement


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