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 Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO².

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Vinety
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MessageSujet: Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO².   Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO². Icon_minitimeDim 19 Juil - 20:12

Salut les membres et les visiteurs.

Warming Caused by Soot, Not CO2 Submitted by Doug L. Hoffman on Wed, 07/15/2009 - 13:19

Un nouvel article scientifique rapporte que l’étude attentive des données de satellites montre que le refroidissement présumé des effets des aérosols atmosphériques est pas mal moins probant qu’estimé antérieurement. Malheureusement, depuis des années, le présumé refroidissement accru a été utilisé dans les modèles climatiques. Dans de tels modèles, la moyenne globale du réchauffement est déterminée par l’équilibre des forçages radiatifs (réchauffement par les GES équilibrés par le refroidissement des aérosols). Parce qu’un plus grand effet associé au refroidissement a été utilisé dans les modèles climatiques, le résultat a été de créditer le CO² avec un effet réchauffant plus grand qu’il possède réellement.

Cette question est d’une importance primordiale pour les modalisateurs parce qu’ils doivent être capables de simuler les effets du réchauffement des GES de façon à correctement prédire les changements climatiques futurs. Le montant de la hausse de la température pour le double de CO² atmosphérique est appelé la "sensibilité du modèle ". Comme l’a expliqué le Dr David Evans dans un article récent SOURCE "Oui, chaque molécule de CO² émise est tributaire d’un certain réchauffement, mais la question cruciale est : combien de réchauffement les émissions de CO² causent-elles? Si le niveau de CO² atmosphérique double, est-ce que la température va monter de 0.1 °, 1.0°, ou de 10.0° C" ?

Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO². GHG_concentration_stabilization_levels-ipcc-500
[bScénarios de la sensibilité des températures (GIEC AR4)[/b]

Les fréquences d’absorption du CO² sont déjà saturées, ce qui veut dire que l’atmosphère a déjà capturé près de 100 % de la radiation de ces fréquences. Conséquemment, à mesure que le niveau de CO² atmosphérique s’accroit, la hausse de température pour une hausse de CO² donnée diminue. Ceci limite malencontreusement le montant de réchauffement, que l’augmentation de CO² atmosphérique peut engendrer. Parce que le CO² par lui-même ne peut expliquer la hausse de température observée dans le dernier siècle, les modalisateurs climatiques présupposent qu’il y a un lien entre la hausse de CO² et d’autres influences, principalement les vapeurs d’eau (pour une explication plus détaillée sir ce qui détermine le potentiel global du réchauffement d’un gaz, voir mon commentaire "Ce n’est pas si simple" SOURCE

Pour compenser l’inconvénient du forçage manquant, on ajuste les modèles pour inclure un certain montant de réchauffement additionnel lié au niveau de CO², un réchauffement additionnel qui provient d’un mécanisme de rétroaction non fondé, dont l’existence est simplement présupposée. Le refroidissement des aérosols et la sensibilité du climat dans les modèles doivent s’équilibrer, de façon à se coller aux conditions historiques. Parce que le climat s’est légèrement réchauffé durant le siècle passé, dont le réchauffement a dû excéder le montant de refroidissement. Comme le dit le Dr Roy Spencer, un météorologue et un ancien scientifique de la NASA : "Ils programment les modèles climatiques de façon suffisamment sensible pour faire coïncider le réchauffement atmosphérique des derniers 50 ans avec l’augmentation du CO² atmosphérique de la même époque. Et maintenant, ils se réfèrent à cette "preuve" ( le CO² cause le réchauffement), mais c’est un raisonnement circulaire."

Toutefois, un grand refroidissement causé par les aérosols implique une grande sensibilité climatique correspondante. Inversement, un refroidissement réduit causé par les aérosols implique un plus bas réchauffement causé par les GES, qui en retour implique une plus basse sensibilité d’un modèle. En fin de compte, c’est cette valeur de sensibilité qu’on a utilisée dans les modèles depuis plus du dernier quart de siècle qui a été fixé trop haute. En utilisant une sensibilité fixée trop haute a des implications significatives sur les prédictions climatiques futures des hausses globales de températures.

La plus basse valeur de sensibilité utilisée par le GIEC est 2°C. En utilisant cette valeur, cela entraine naturellement, en de plus basses prédictions pour les accroissements des températures futures. Selon l’article : "La cohésion entre les estimés, dérivés des satellites et les modèles et les effets directs des aérosols " Gunnar Myhre déclare dans un article publié le 10 juillet 2009 par Science,: que les valeurs précédentes pour l’effet de refroidissement des aérosols sont trop élevées, et d’aussi hautes que 40 %, ce qui implique que les valeurs utilisées par le GIEC sur ses modèles, sont aussi trop hautes.

Dans le quatrième rapport du GIEC, l’effet direct des aérosols, est rapporté comme ayant un forçage radiatif estimé à 0.5 watts par mètre carré.(W / m²), perturbant le réchauffement du CO² par près d’un tiers. Toutefois, les certitudes s’étalent de -0.9 à -0.1 W/m , ce qui est largement causé par la différence entre les estimés des modèles sur les aérosols globaux et les estimations basées sur les observations faites avec les dernières, tendant à donner un plus grand (plus négatif) forçage radiatif.

Cette étude démontre que la cohésion entre un modèle global des aérosols et l’adaptation avec une méthode basée sur des observations produit une moyenne de forçage radiatif qui est plus faible que -0.5 W/m² avec une estimation optimale de -0.3 W/m². L’explication physique pour les divergences citées plus tôt est que la croissance relative du carbone noir anthropogénique (la suie est un aérosol qui absorbe la chaleur) est beaucoup plus grande que la croissance totale de l’abondance des aérosols anthropogéniques.

L’influence complexe des aérosols atmosphériques sur les systèmes climatiques et l’influence humaine sur les aérosols est parmi l’une des incertitudes principales dans la compréhension des récents changements climatiques. Évaluée comme l’un des forçages le plus significatif et jusqu’ici le plus pauvrement compris par le GIEC. Récemment, il y a eu beaucoup d’activités dans les recherches sur les aérosols. VOIR ICI : Les bactéries aériennes discréditent le climat.

Les dogmes des modèles et la chaleur des poussières africaines, au dessus des tropiques de l’Atlantique. Il y a des particules qui absorbent le rayonnement solaire, contribuant au réchauffement climatique, tandis que d’autres reflètent le rayonnement, menant à un refroidissement. Les principaux aérosols anthropogéniques qui causent un réchauffement climatique sont les sulfates, les nitrates, et le carbone organique, alors que la suie absorbe la radiation solaire. L’effet global moyen des aérosols produits par les humains (en d’autres mots, la pollution) est un refroidissement. La contribution relative de ces différents types d’aérosols détermine la magnitude de ce refroidissement. Un réajustement de cet équilibre est le cœur de l’article de Myhre.

Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO². 090717024535996675
Fumés d’un feu de forêt (photo : Eumestat)

La divergence entre les observations récentes des satellites et les valeurs requises pour faire fonctionner correctement les modèles climatiques vexent les créateurs de modèles. Une quantification fiable du forçage radiatif des aérosols est essentielle pour comprendre les changements climatiques", comme le mentionne Johannes Quass de l’Institut de météorologie Max Planck de Hambourg, Allemagne. Écrivant sur Science, sur la même question¸, le Dr Quass résume, "toutefois, une grande portion des divergences demeurent inexpliquées."
Avec un ensemble d’études sur la sensibilité que Myhre a faites, elle explique la plupart des divergences qui restent. Son article montre qu’avec un ensemble de données consistantes sur la distribution et des propriétés des aérosols anthropologiques, la base de données et l’approche modélisée convergent.

Myhre épilogue que depuis l’époque préindustrielle. La concentration de particules de suie a augmenté beaucoup plus que les autres aérosols, qui eux dispersent la radiation solaire, alors que la suie l’absorbe. Au dessus de l’atmosphère, où la balance énergétique est déterminée, la dispersion a un effet refroidissant, alors que l’absorption a un effet de réchauffement. Si la suie augmente plus que les aérosols dispersants, l’effet refroidissement global des aérosols est plus petit qu’il en serait autrement. Selon les travaux du Dr Myhre, la valeur correcte du refroidissement est 40 % moindre que celle utilisée auparavant par le GIEC.

Pas que les créateurs de modèles ne soient pas conscients du problème avec leur création. N’innombrables articles ont été publiés en détail sur le problème inhérent à la couverture de glace, les précipitations et la température correctement prédite. Cela est causé par des modèles incorrectement modélisés de l’ENSO, les aérosols et le fléau des créateurs de modèles, la couverture nuageuse. Les partisans des modèles climatiques clament que les modèles sont toujours satisfaisants, juste pas aussi précis ou aussi détaillés qu’ils puissent être. Qu’un modèle qui n’est que partiellement correct, peut-il être fiable? Citant encore le poste de Roy Spencer sur son blog : VOIR ICI

Il est aussi très important de comprendre que même si un modèle climatique traite parfaitement bien 95 % des processus du système climatique, que ça ne veut pas simplement dire que les prédictions des modèles vont être 95 % fiables. Il s’agit uniquement qu’un seul processus important soit faux, pour que les résultats du modèle soient totalement erronés.

Qu’une seule erreur semblable dans les paramètres d’un seul modèle peut-il réellement mener à des résultats invalides? Considérons le graphique ci-dessous, une représentation des prédictions faites par James Hansen présenté au Congrès en 1988, versus le tracée de la réalité du comportement climatique depuis cette conférence. Comme on peut facilement le constaté, la sensibilité du modèle utilisé par Hansen avait été ajustée trop haute, mais encore là, nous sommes supposé accepter les résultats du modèle utilisé, même s’il ne correspond pas à la réalité observée. Il n’est pas étonnant de comprendre pourquoi le GIEC n’appelle pas ses résultats des prédictions, préférant utiliser un terme plus nébuleux, "scénario".

Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO². Hansen_forecast_1988-no_title
Les prévisions du DR hansen vs la réalité.

Maintenant que nous savons que les modèles utilisés par le GIEC étaient ajustés incorrectement, que cela implique-t-il pour les avertissements sur les prédictions imminentes et désastreuses du climat à venir? Quels sont les impacts réels que cette découverte a sur les prédictions de la fonte des calottes glaciaires, la montée exceptionnelle des océans, l’augmentation de l’activité des tempêtes tropicales et l’essor de la hausse de la température? Tout simplement qu’ils étaient dans l’erreur, du moins, en ce qui concerne les prédictions basées sur leurs modèles. Pour encore citer l’article de David Evans : aucun des modèles de 2001 n’a pu prédire que la température ne monterait pas de 2001 à 2009, ils étaient tous faux. Tous les modèles ont erronément prédis l’énorme bulle chaude tropicale qui dominerait dans l’atmosphère, pas de telles bulles n’ont été observées, et si elle l’avait été là, on l’aurait facilement détectée avec la flopée de satellites climatiques qui orbitent au dessus de nos têtes.

Le réchauffement est causé pat la suie, pas par le CO². 090719064421947289
Modèles vs satellites

Comme on peut le visualiser sur l’image de droite, une image d’ordinateur qui modélise une bulle d’air chaud (hot spot). Sur l’image de gauche, image de satellite, on constate de facto, l’absence de cette prétendue bulle d’air chaud prévue par les modèles du GIEC

Encore une fois, nous pouvons constater la base fragile qu’utilisent les modèles pour faire leurs prédictions. Encore une fois, un nouvel article dans un journal scientifique revu par les pairs, a apporté à notre attention, les erreurs significatives sur la façon dont les modèles sont configurés, forcées de s’harmoniser avec les données historiques connues, même si des valeurs imparfaites sont utilisées comme paramètres fondamentaux. J’ai plusieurs fois répété, qu’avec suffisamment de tordage de paramètres, un modèle peut être fabriqué pour concorder avec quelques que soit les données de référence, mais une telle validation trafiquée, ne veux pas nécessairement dire que ce modèle peut prédire le futur correctement. Quand la science climatique réalisera-t-elle que sa réputation est après tombée en ruine, suite aux fausses prédictions par de faux prophètes, utilisant des codes d’ordinateurs falsifiés

Soyer sur, jouissez de la période interglaciaire et demeurer sceptique.

Texte traduit par Yves Vinet, le 19 juillet, 2009.

Amicalement

Vinety
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