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 L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ?

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Vinety
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MessageSujet: L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ?   L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ? Icon_minitimeMer 12 Aoû - 21:17

Salut les membres et les visiteurs

Note: Vous trouverez la source de ces graphiques ci-dessous:

Petition project, par les auteurs:
Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon


L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE :

Le seul élément important que l’humain possède pour préserver son environnement est l’énergie, et cela, quelle que soit sa forme. La technologie nous permet de transformer industriellement, l’énergie disponible en des formes utiles pour l’activité humaine. Une énergie abondante et peu chère est indispensable pour que les humains puissent aménager son environnement et lui permettre de produire industriellement des produits de consommation courants qui lui permettent de vivre plus sainement et d’enrichir son patrimoine. Les peuples les plus prospères ont la richesse nécessaire pour protéger et aménager leur environnement naturel.

Graphique 25 :
Aujourd’hui, les États-Unis sont un importateur net d’énergies comme montrées sur le graphique 25. Les Américains dépensent à peu près 300 milliards de dollars par année pour l’importation de pétrole et de charbon, et un montant additionnel pour les dépenses militaires rattachées à ces importations.

L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ? 090812052130407261
Graphique 25 : En 2006, les États-Unis ont obtenu 84.9 % de son énergie des hydrocarbures, 8.25 % de carburants nucléaires, 2.9 % des centrales hydroélectriques, 2.1 % de la combustion ligneuse, 0.8 % de biocarburants, 0.4 % des déchets, 0.3 % de sources géothermales, et 0.3 % de l’éolien et des panneaux photovoltaïques. Les États-Unis ont utilisé 21 millions de barils de pétrole par jour, 27 % venant de l’OPEP, 17 % venant du Canada et du Mexique, 16 % d’autres pays, et 40 % produit par les É.U (95). En 2007, le cout du pétrole et du gaz importé se chiffrait à $60 par baril et $7 par 1000 Pd, soit à peu près à $ 300 milliards par année.

La politique demande une réduction de 90 %, pour l’usage des hydrocarbures américains
(123) , éliminant par cette action 75 % des ressources énergétiques américaines, qui sont sans doute inapplicables. Ni que ce 75 % des énergies américaines puisse être remplacées par des sources alternatives " vertes ". Malgré les énormes subventions des 30 dernières années, les sources " vertes " continuent de produire que 0.3 % de l’énergie américaine.

Toutefois, les É.U. ne peuvent continuer d’importer massivement l’énergie sans perdre sa puissance économique et industrielle et son indépendance politique. Il devrait, au moins, sans équivoque, être un exportateur principal en énergie.

Il y a trois volets technologiques pour obtenir l’indépendance énergétique américaine, augmenter l’usage des hydrocarbures, l’énergie nucléaire, ou les deux à la fois. Il n’y a pas de dégradation climatique à augmenter l’usage des hydrocarbures, même si les effets environnementaux doivent être pris en considération et en réduire les effets néfastes le plus rapidement possible. L’énergie nucléaire, est en fait, moins dispendieuse et plus bénigne pour l’environnement que l’énergie fossile, cependant, elle a aussi été la victime des campagnes de peurs et les rumeurs de ses désavantages et de ses dangers ont été grossièrement exagérées, et qui est maintenant prouvé, ils sont négligeables.

Par exemple, le " problème " du haut niveau radioactif des " déchets nucléaires " a été le fait de beaucoup de tensions, toutefois ce problème a été créé de toutes pièces par les obstructions gouvernementales américaines pour la recherche sur cette filière et sa réutilisation. Les déchets nucléaires peuvent être recyclés en de nouveaux carburants nucléaires, et ne doivent pas être entreposés dans des contenants très dispendieux.

Les accidents de centrales nucléaires sont aussi très publicisés, néanmoins, il n’y a jamais eu un seul décès humain associé avec un incident d’une centrale nucléaire américaine. Par contraste, l’utilisation de l’automobile a résulté à 40,000 décès d’Américains par année.

Toutes formes de production d’énergies, incluant les énergies " vertes ", à son lot de morts industrielles dans les mines, les usines et le transport de ressources énergétiques, dont le peuple a besoin. L’énergie nucléaire requiert le plus petit montant de ces ressources (124) et néanmoins, comporte le plus bas taux de risques de mortalité.

Les couts relatifs à la production d’énergie électrique varient selon les régions géographiques et ses hypothèses sous-jacentes. Le graphique 26 montre une récente étude britannique, qui est très typique. Présentement, 43 % de l’énergie américaine est utilisée pour la production d’électricité.

Assurément, les inventions futures des technologies énergétiques vont altérer les économies relatives du nucléaire, des hydrocarbures, solaires, éoliens, et d’autres méthodes de production d’énergies. Ces inventions, toutefois, ne peuvent être imposées par des ordonnances gouvernementales, ni qu’on puisse souhaiter son existence. Alternativement, si
"la conservation" est pratiquée de façon intensive comme étant une alternative aux hydrocarbures et à l’énergie nucléaire, c’est purement une rectitude politique pour remplacer le mot "pauvreté".

L’actuelle situation intenable dans laquelle les États-Unis perdent $300 milliards par année pour payer pour du pétrole et du gaz étranger n’est pas le résultat de la faillite de l’effort du gouvernement dans la production d’énergie. Le gouvernement américain ne produit pas d’énergies. L’énergie est produite par industries privées. Pourquoi alors, la production d’énergie est-elle si florissante à l’étranger quand la production domestique stagne ?

La stagnation a été causée par la taxation, les ordonnances et les subventions des litiges par le gouvernement américain, qui a fait des États-Unis un endroit tout a fait défavorable pour produire de l’énergie. De plus, le gouvernement américain a dépensé des sommes énormes pour subventionner la production d’énergies inférieures pour des aspirations politiques,

Il n’est pas difficile de discerner d’avance la meilleure voie à suivre. Les abrogations législatives de la taxation, les ordonnances et les encouragements aux litiges, et les abrogations de toutes les subventions aux industries génératrices d’énergies vont stimuler le développement industriel où la concurrence va automatiquement déterminer la meilleure voie.

L’énergie nucléaire est la plus sure, la moins dispendieuse, et la plus bénigne face à l’environnement, que les hydrocarbures. C'est pourquoi c’est le meilleur choix pour l’augmentation de la production d’énergies. Les carburants fossiles solides, liquides et gazeux nous procurent quand même plusieurs avantages et de plus l’infrastructure nationale de distribution est déjà en place.

Le pétrole obtenu du schiste ou de la liquéfaction du charbon, est moins dispendieux selon le prix courant, que le pétrole provenant des champs pétrolifères, mais son cout de production en vigueur est plus élevé que ceux pratiqués par les champs pétroliers déjà développés. Il y a, toutefois, un risque d’investissement, si le prix du pétrole brut devait tomber tellement bas, que les usines de liquéfaction ne pourraient plus les concurrencer. L’énergie nucléaire n’a pas ce désavantage, parce que les couts de production des centrales nucléaires sont très bas.

Graphique 26:
L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ? 090812054405297753



Graphique 26: En 2006, le cout de livraison de l’électricité par kilowatt-heure en Angleterre, sans contrôle du CO² (126). Ces estimations comprennent tous les capitaux et les charges d’exploitation des entreprises pour une période de 50 ans. Les micros éoliens ou les panneaux solaires sont des installations pour des maisons privées.

Ainsi, au lieu des $300 milliards en pertes commerciales, les É.U. auraient $200 milliards de surplus et auraient les moyens de prendre des mesures pour les besoins futurs en énergies américaines. De plus, si la chaleur issue des centrales nucléaires était utilisée pour la liquéfaction et la gazéification du charbon, les É.U. n’auraient même pas besoin d’utiliser ses ressources pétrolières. Les É.U. possèdent près de 25 % des réserves charbonnières du monde. Cette chaleur pourrait aussi liquéfier la biomasse, les déchets, ou les autres sources d’hydrocarbures qui pourraient être, s’il y a lieu, prouvées comme pratiques.




Le graphique 27 illustre bien, tel que l’exemple d’une voie pratique et environnementalement saine pour l’indépendance énergétique des États-Unis. Présentement, 19 % de l’électricité américaine est produite par 104 centrales nucléaires avec en 2006, un rendement moyen de 870 mégawatts par réacteur, pour un total global d’à peu près 90 GWe (gigawatts) (125). S’il était haussé à 560 GWe, l’énergie nucléaire pourrait satisfaire tous les besoins en électricité des États-Unis et posséder 230 Gwe en surplus pour l’exportation ou remplacer les carburants fossiles existants ou manufacturés.
L’ENVIRONNEMENT ET L’ÉNERGIE ? 090812054605599903



BIBLIOGRAPHIE

95. Annual Energy Review, U.S. Energy Information Admin., Report No. DOE/EIA-0384 (2006).

123. Gore, A., Pelosi, N., and Reid, H. (June 29, 2007) The Seven Point Live Earth Pledge. +Speaker of the House Website, www.speaker.gov. and www.liveearth.org.

124. Beckmann, P. (1985) The Health Hazards of NOT Going Nuclear, Golem, Boulder, Colorado.

125. American Nuclear Society, Nuclear News (2007) March, 46-48.

126. McNamara, B. (2006) Leabrook Computing, Bournemouth, England.



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