Salut les membres et les visiteurs
Note: Vous trouverez la source de ces graphiques ci-dessous: Petition project, par les auteurs:
Arthur B. Robinson, Noah E. Robinson, et Willie Soon Graphique 19 : L’effet radiatif des GES de doubler la concentration du CO² atmosphérique (colonne de droite) tel que comparé contre quatre des incertitudes des modèles climatique programmé
Les modèles climatiques programmés sur lesquels est basé le réchauffement climatique anthropique se basent sur des
incertitudes substantielles et sont peu fiables. Ceci n’est pas surprenant, parce que le climat est un système double, dynamiquement non linéaire. C’est d’un système très complexe, dont le
graphique 19 illustre les difficultés en comparant l’effet de serre des CO² radiatifs incluant leur facteur de correction et les incertitudes, dont quelques-uns des paramètres utilisés pour le calcul des modèles. Aussi, aujourd’hui, d’autres facteurs, comme l’influence chimique et climatique des volcans ne peuvent pas être calculés avec efficacité par des modèles d’ordinateur climatiques.
En effet, une expérience a été effectuée sur la terre durant le demi-siècle passé. Une expérience qui a inclus tous les facteurs complexes et les effets rétroactifs qui déterminent le climat et la température de la terre. Depuis 1940, l’usage des hydrocarbures a été multiplié par 6 fois. Cependant, cette hausse n’a pas eu d’effet sur la tendance de la température, qui a continué son cycle de redressement, depuis la petite ère glaciaire avec une corrélation très près de l’activité solaire
Non seulement l’hypothèse de réchauffement mondial a-t-il failli les tests expérimentaux, mais il est aussi théoriquement faux. On ne peut raisonnablement argumenter que le refroidissement venant d’une rétroactivité
physique et biologique négative des gaz à effet de serre, neutralise la hausse initiale infime de la température
(84 à 86). Les raisons de l’échec des modèles climatiques par ordinateur sont le sujet d’un débat scientifique
(87). Par exemple, les vapeurs d’eau sont les plus grandes collaboratrices à l’effet de serre globale
(88). Il a été suggéré que les modèles climatiques traites incorrectement, les rétroactions des nuages, les vapeurs d’eau, et des facteurs hydrologiques
(85, 89 à 92). L’hypothèse du réchauffement global en respect du CO² n’est pas basée sur les propriétés radiatives du CO² lui-même, qui est un GES très faible. C’est basé sur une petite hausse initiale de la température causée par le CO² et une grande amplification de la hausse de la température, primitivement à travers l’évaporation de l’H2O, un GES puissant. N’importe quelle hausse de température d’une autre cause aurait produit les mêmes résultats calculés.
BIBLIOGRAPHIE84. Sun, D. Z. and Lindzen, R. S. (1993) Ann. Geophysicae 11, 204-215.
85. Spencer, R. W. and Braswell, W. D. (1997) Bull. Amer. Meteorological Soc. 78, 1097-1106.
86. Idso, S. B. (1998) Climate Res. 10, 69-82.
87. Soon, W., Baliunas, S., Idso, S. B., Kondratyev, K. Ya., and Posmentier, E. S. (2001) Climate Res. 18, 259-275.
88. Lindzen, R. S. (1996) Climate Sensitivity of Radiative Perturbations: Physical Mechanisms and Their Validation, NATO ASI Series 134, ed. H. Le Treut, Berlin: Springer-Verlag, 51-66.
89. Renno, N. O., Emanuel, K. A., and Stone, P. H. (1994) J. Geophysical Res. 99, 14429-14441.
90. Soden, B. J. (2000) Journal of Climate 13, 538-549.
91. Lindzen, R. S., Chou, M., and Hou, A. Y. (2001) Bull. Amer. Meteorlogical Soc. 82, 417-432.
92. Spencer, R. W., Braswell, W. D., Christy, J. R., and Hnilo, J. (2007) Geophysical Research Letters 34, 2007GL029698.
Amicalement
Vinety