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 La mort de l'écocratie.

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Vinety
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MessageSujet: La mort de l'écocratie.   La mort de l'écocratie. Icon_minitimeSam 22 Nov - 17:55

Salut les membres

L’écocratie, qui est le pouvoir tiré de l’organisation d’entreprises voués à la sensibilisation des humains envers la protection de leur environnement immédiat.

Depuis toujours, les populations se sont révoltées contre les conditions de vie qu’imposait la concentration des hommes en des villages ou de villes pour se protéger des mécréants de toutes sortes qui voulaient imposer leur tyrannie sur les paysans sans défense et incapables de se protéger contres les envahisseurs étrangers ou simplement par la soldatesque locale ou étrangère qui profitait de la faiblesse de ces gens pour les tyranniser, les exploiter, les violenter et souvent en faire des esclaves pour satisfaire leurs besoins et leurs fantaisies.

La création de villages et de villes servait surtout à héberger les paysans qui ne pouvaient survivre dans leur milieu rural à cause de l’explosion démographique des familles paysannes qui pour pouvoir survivre morcelaient les meilleures terres et les donnaient en héritage à leur progéniture. Les paysans urbanisés, ne pouvant prétendre cultiver et n’avaient d’autres choix que d’essayer de survivre, en créant des petites entreprises familiales se consacrant en des spécialisations de toutes sortes pour répondre aux besoins d’une population de plus en plus grande et séparés de leur milieu naturel.

Mais la production de biens de consommation, implique la production de déchets qui sont de plus en plus important et qui s’accumule rapidement et dont la nature ne peut absorbé ou décomposer par le processus naturel de la décomposition du vivant ou de l’accumulation de produits toxiques qui deviennent létales, suivant les concentrations dans leur milieu anthropique.

Ces révoltes des populations urbaines contre la pollution de leur milieu de vie ont toujours préoccupé les édiles ou les chefs de ces villages ou de ces villes. Il y a plein d’histoire dans la littérature, qui nous informe des genres de pollutions que les citadins devaient endurer dans leur milieu respectif. Par exemple, pour traiter les peaux d’animaux et en faire du cuir, certaines villes qui s’en spécialisaient ont tellement pollué les rivières qui les jouxtaient, que les habitants devaient faire de longues marches pour trouver une eau saine et buvable ou devaient creuser des puits ou se connecter sur des sources locales pour s’abreuver ou pour satisfaire les besoins domestiques. Les rivières et les cours d’eau adjacents des villes importantes, ont toujours été les premières à souffrir de la pollution urbaine, pour les populations en aval.

L’écocratie

Ces organisations "environnementalistes" ont rapidement compris que ce domaine pouvait éventuellement leur apporter beaucoup de pouvoirs, si les promoteurs savaient s’y prendre pour alarmer la population, et après s’ériger en sauveur de l’humanité.

Pour se faire, il faut convaincre plusieurs individus de la vertu de leur entreprise. Il faut ensuite créer des brigades de petits soldats pour rapporter les déviances ou les sources de pollutions. Ensuite, il faut créer des comités pour verbaliser un discours accrochant et ensuite trouver des façons de propager le message.

Une mise en place d’un prosélytisme quasiment religieux est absolument nécessaire pour propager la bonne nouvelle. Un discours simple, vertueux, trivial et surtout ponctué d’exemples et d’images concocté pour attirer l’attention des gens simples et facilement impressionnables, sur la réalité des images qui leur sont montré, par un discours d’arrière-plan, qui exagère au plus haut point la réalité des images qui leur sont montrées.

Par exemple, on nous montre une image d’une cheminé d’usine qui crache des nuages de poussière noirs et le discours sous-jacent, nous informe que ces nuages sont en fait du CO² qui pollue la planète et qui accentue l’effet de serre, et qui a pour résultante de réchauffer le climat.

On se garde bien de nous mentionner, que cette photo de cheminée à été prise il y a bien longtemps et que cette cheminée n’existe même plus. De plus, personne ne mentionne que le CO² est transparent et indispensable à la vie sur terre, et que les nuages de fumée opaque et noire sont de la suie, un aérosol qui peut facilement être filtré bien avant qu’il n’atteigne l’atmosphère. D’ailleurs, c’est ce que font la plupart des industries soumises à des décrets régionaux ou étatiques.

Aussi, on oublie sciemment de nous dire que les volcans produisent parfois tellement d’aérosols semblables, que les nuages qu’il en sort bloquent le rayonnement solaire et que la terre en est refroidie pour plusieurs mois. Des contrevérités qu’on se garde bien de mentionner, car elles iraient à l’encontre de la psychose de la fin du monde, que l’on veut absolument imposer, pour des intentions politiques et surtout pour convaincre le monde de l’idée de la bourse du carbone, qui est la pierre d’assise de tout ce montage médiatique qui sert les intérêts de l’écocratie et surtout des "traders", qui par hasard, sont pour la plupart, les initiateurs de Kyoto et ceux qui profitent le plus de cette arnaque mondiale.

Tout ce pouvoir a été accumulé au cours des ans c’est surtout l’ONU, avec ses programmes caritatifs et incitateurs qui est la pierre d’assise de toute cette "écocratie". Aujourd’hui, ces organisations commencent à se rendre compte, que la population est lasse de ces discours alarmistes et que les mots "environnement", "réchauffement" ou "changement climatique", ne suscitent guère les mêmes émotions qu’elles généraient, il n’y a pas si longtemps.

Ces organisations ne réussissent plus aussi facilement à délier les cordons de la bourse des badauds, qui avant, se laissaient séduire par ce discours réducteur, qui leur apportait beaucoup de bénévoles et surtout le nerf de la guerre, l’argent, qui est la base de tout pouvoir qui se respecte.

Si le titre "La mort de l’écocratie" a été utilisé pour cette petite thèse de mon cru, c’est que ces organisations, que d’autres avant moi ont justement nommé "écocratie", montrent des signes d’essoufflement et un doivent faire un repositionnement de leurs stratégies, avec un recours à des bases de "markéting" pour repenser leurs velléités de "bénévoles" de l’environnement.

Par exemple :
vous trouverz ici

Extrait Wiki :
Citation :
FAO a commandé en 2005 à un groupe d'experts un audit d'évaluation Externe indépendante5. Un pré-rapport (fin juillet 2007) estime que la FAO est "au bord du gouffre" ; son personnel étant démotivé par des « systèmes administratifs dépassés et rigides" et une "bureaucratie tatillonne". L'influence de la FAO « décline », ses services perdant de leur avantage comparatif, ce qui encourage les financeurs à diminuer son budget (de 370 millions d’USD/an, soit 270 millions d'€, mais qui a diminué de 20 % depuis 1995). Ses prises de position sont jugées parfois contradictoires et mal comprises ; promotion d’une agriculture productiviste d'après guerre, lutte contre la faim, puis promotion des OGM en 2004 avant d’inversement annoncer que l'agriculture biologique « avec une véritable volonté politique », pourrait contribuer à la sécurité alimentaire de la planète.

Ce pré-rapport invite la FAO à se "réinventer", son existence restant nécessaire et ses objectifs initiaux n'étant pas atteints. Elle devrait se repositionner, notamment par rapport aux ONG qui occupent une place croissante dans le domaine de l’aide alimentaire et au développement d'une agriculture durable. Le pré-rapport se conclue par 110 recommandations pour s’adapter à un contexte qui a évolué. Le rapport final est attendu en novembre 2007.
--------------------

Vous trouverez ici

MEA Bulletin
Guest Article
Monday, 18 June 2007
THE ROLE OF BIODIPLOMACY IN IMPLEMENTING MEAs

By Balakrishna Pisupati*


Traduction :
Le rôle de la bio diplomatie dans l’implantation d'AEMs.
(Accords Environnementaux Multilatéraux.)

L’article de Balakrishna Pisupati est son opinion personnelle, et la traduction de cet article écrit en anglais, est la plus proche possible de son opinion et est disponible séparément si quelqu’un en exprime la demande.YV


J’en ai fais un court résumé ici-bas, pour ne pas fatiguer les lecteurs avec cette traduction assez longue.

Quels sont les points soulevés ?

1- La survie des groupes environnementalistes, reliés aux
(Accords Environnementaux Multilatéraux)

2- L’invention d’un discours racoleur qu’on nomme "bio diplomatie", discours international.

3- La liberté de la science de s’exprimer VS contrôle (censure)?

4- Le développement durable inventé par les environnementalistes.

5- Définition du rôle des AEMs..

6- La méthode de "La carotte et de bâton" a besoin d’être révisée.

7- Les simples mots "changements et réchauffement" sont problématiques.

8- Éduquer nos membres et les décideurs et les former à la négociation "gagnante/gagnante"

Conclusion

Une des particularités de cet article et des autres intervenants, est que les "changement climatiques" est la pierre angulaire de ces mouvements, tout autant que pour l’ONU et Kyoto. Sans cette idée, il n’y a pas de base suffisamment "viscérale" pour amorcer une discussion gagnante sur l’environnement parmi monsieur tout le monde.

Cependant, cette idée n’a plus l’impact médiatique nécessaire pour amorcer un dialogue sur la pollution de notre environnement et les façons de la corriger. Il faut revenir aux cas par cas, et laisser les politiciens élus démocratiquement, poser les actions nécessaires pour corriger les problèmes soulevés selon la capacité de payer des contribuables et des technologies disponibles.

Ce que je lis à travers les nombreux articles qui sont publiés sur le net et des nouveaux livres qui maintenant sortent régulièrement, surtout ceux écrits par la nouvelle vague de scientifiques qui osent maintenant affronter la vindicte des "réchauffiste", comme le dit si bien mon ami "Jean Martin", le créateur du site
"Pensée unique", http://www.pensee-unique.fr/,

Et tel que le défunt Michael Crichton http://forums.funebres.fr/read.php?12,405
Jacques Lévy http://www.espacestemps.net/document4683.html.
Nathalie Blanc http://www.espacestemps.net/document4102.html
Martine Tabeaud http://www.espacestemps.net/document4343.html
Björn Lomborg dont le PDF peut être télédéchargé ici :
http://www.mediafire.com/?zyamemqwndd
Henrik Svensmark http://www.climat-sceptique.com/32-index.html

Je remercie tous les membres de ce forum qui m’ont fourni à leur insu, pleins de sites intéressants à consulter.

Amicalement

Vinety
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http://vinety.com
 
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