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 L'histoire du climat cachée dans la cellulose des arbres

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Vinety
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Vinety


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MessageSujet: L'histoire du climat cachée dans la cellulose des arbres   L'histoire du climat cachée dans la cellulose des arbres Icon_minitimeLun 6 Juil - 17:49

Salut les membres et les visiteurs

Des chercheurs ont reconstitué les températures de printemps et d'été dans le nord de la France de 1596 à nos jours avec une précision inégalée.

L'histoire du climat cachée dans la cellulose des arbres 068c832e-5bf3-11de-b3ad-e43219ede704

La connaissance du climat des siècles passés en France progresse de façon remarquable. Elle est d'une précision croissante en termes de température et de plus en plus circonscrite géographiquement. Une équipe du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE) basée à Gif-sur-Yvette vient de reconstituer les températures moyennes au printemps et en été dans la région de Fontainebleau de 1596 à nos jours (Climatic Change, juin 2009 ; Climate of the Past, vol. 4 n° 2, 2008). La courbe est bien corrélée avec celle fournie par les dates de bans de vendanges en Bourgogne.

SOURCE

Citation :
. C'est ainsi que la température a augmenté en moyenne de 1,8 °C entre 1674 à 1684, au beau milieu de ce qu'on appelle le petit âge glaciaire, une période froide qui a duré de 1650 à 1850.

Je ferai remarquer que ce commentaire est presque faux, car ce pic de température qui a duré 20 ans, et qui se comparerait à la température présente de 18 ans (1979-1998), car depuis 1998 la température fléchit et se dirige probablement vers le même minimum de Maunder mentionné par l’auteur.

De plus, ce pic ne s’est pas produit au beau milieu du Maunder comme l’affirme l’auteur, qui serait (1750), mais au tout début de ce minimum. De plus, je vois que l’auteur défend la thèse du RCA actuel, car si ce n’était pas le cas, il aurait mentionné, que durant cette période (1674-1684), l’ère industrielle n’était pas commencée, et dès lors pas d’émissions de CO² anthropique qui serait aujourd’hui, supposément la cause de ce réchauffement observé.

Ce pic de température de 1674-1684, à lui seul, invalide la théorie du GIEC et nous fait penser que la nature peut très bien par elle-même créer des variations énormes sans l’aide des humains. Les points soulignés par l’auteur sont:

Citation :
…l'activité solaire était plus faible qu'aujourd'hui et où il aurait normalement dû faire plus froid. Cette période qui a duré de 1645 à 1715 s'appelle le minimum de Maunder.


Citation :
Deuxième enseignement, il n'y a jamais eu dans le passé une aussi longue période d'augmentation des températures que celle que Météo France enregistre depuis 1980 (+ 1,8 °C en 20 ans si on s'arrête en 2000 comme les chercheurs l'ont fait, ou 2,7 °C en 29 ans,

Citation :
). «Le réchauffement que nous connaissons aujourd'hui est unique par sa durée», souligne Valérie Daux qui y voit la marque de ce qu'on appelle dans le jargon, le «forçage anthropique.» Autrement dit l'influence des rejets de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Je suis de plus très surpris, que l’auteur ait oublié de mentionner le maximum médiéval, qui a duré près de 300 ans [et cela, sans forçage anthropique), et pas seulement (30 ans) et qui était encore probablement plus chaud que la petite période de chaleur actuelle qui n’a duré que 20 à 30 ans, selon la lecture qu’on en fait, et qui se dirige vers un refroidissement probable!

En résumé, une étude faite pour avaliser la théorie du GIEC, mais pas mal biaisée et tronquée scientifiquement. Que de malhonnêteté de la part de scientifiques qui prétendent prouver une thèse déjà mal en point, mais drôlement payante pour ceux qui se servent des fonds de l’ONU et des écoterroristes pour se hausser au-dessus du "vulgum pecus" et lui faire avaler la dure pilule de la main mise des ONG et de l’ONU sur le volant de la démocratie et en faire des esclaves de utilisant ces mêmes idéologies, pour dominer la planète.

Amicalement
SOURCE

Citation :
. C'est ainsi que la température a augmenté en moyenne de 1,8 °C entre 1674 à 1684, au beau milieu de ce qu'on appelle le petit âge glaciaire, une période froide qui a duré de 1650 à 1850.

Je ferai remarquer que ce commentaire est presque faux, car ce pic de température qui a duré 20 ans, et qui se comparerait à la température présente de 18 ans (1979-1998), car depuis 1998 la température fléchit et se dirige probablement vers le même minimum de Maunder mentionné par l’auteur.

De plus, ce pic ne s’est pas produit au beau milieu du Maunder comme l’affirme l’auteur, qui serait (1750), mais au tout début de ce minimum. De plus, je vois que l’auteur défend la thèse du RCA actuel, car si ce n’était pas le cas, il aurait mentionné, que durant cette période (1674-1684), l’ère industrielle n’était pas commencée, et dès lors pas d’émissions de CO² anthropique qui serait aujourd’hui, supposément la cause de ce réchauffement observé.

Ce pic de température de 1674-1684, à lui seul, invalide la théorie du GIEC et nous fait penser que la nature peut très bien par elle-même créer des variations énormes sans l’aide des humains. Les points soulignés par l’auteur sont:

Citation :
…l'activité solaire était plus faible qu'aujourd'hui et où il aurait normalement dû faire plus froid. Cette période qui a duré de 1645 à 1715 s'appelle le minimum de Maunder.


Citation :
Deuxième enseignement, il n'y a jamais eu dans le passé une aussi longue période d'augmentation des températures que celle que Météo France enregistre depuis 1980 (+ 1,8 °C en 20 ans si on s'arrête en 2000 comme les chercheurs l'ont fait, ou 2,7 °C en 29 ans,

Citation :
). «Le réchauffement que nous connaissons aujourd'hui est unique par sa durée», souligne Valérie Daux qui y voit la marque de ce qu'on appelle dans le jargon, le «forçage anthropique.» Autrement dit l'influence des rejets de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Je suis de plus très surpris, que l’auteur ait oublié de mentionner le maximum médiéval, qui a duré près de 300 ans [et cela, sans forçage anthropique), et pas seulement (30 ans) et qui était encore probablement plus chaud que la petite période de chaleur actuelle qui n’a duré que 20 à 30 ans, selon la lecture qu’on en fait, et qui se dirige vers un refroidissement probable!

En résumé, une étude faite pour avaliser la théorie du GIEC, mais pas mal biaisée et tronquée scientifiquement. Que de malhonnêteté de la part de scientifiques qui prétendent prouver une thèse déjà mal en point, mais drôlement payante pour ceux qui se servent des fonds de l’ONU et des écoterroristes pour se hausser au-dessus du "vulgum pecus" et lui faire avaler la dure pilule de la main mise des ONG et de l’ONU sur le volant de la démocratie et en faire des esclaves de utilisant ces mêmes idéologies, pour dominer la planète.

Amicalement

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