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 Le nombre de sceptiques climatiques s’intensifie mondialement.

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Vinety
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Vinety


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MessageSujet: Le nombre de sceptiques climatiques s’intensifie mondialement.   Le nombre de sceptiques climatiques s’intensifie mondialement. Icon_minitimeVen 26 Juin - 19:32

Salut les membres et les visiteurs

Changement climatique
Steve Fielding a récemment demandé à l’administration "Obama"de le réassurer sur la science climatique qui prône le RGA. Quand l’administration s’est montrée incapable de le convaincre, M. Fielding a décidé de voter contre la loi australienne sur les changements climatiques.

Si vous n’avez jamais entendu parler de ce politicien, c’est peut-être parce qu’il est un membre du Sénat australien! Comme la chambre des représentants des États-Unis se prépare à faire passer sa loi sur les changements climatiques, le parlement australien se prépare à tuer sa propre loi sur la combine des émissions de carbone. Pourquoi? Un nombre grandissant d’Australiens, politicien, scientifique et citoyen, encore aujourd’hui, doute des arguments scientifiques des alarmistes sur le RCA.

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Steve Fielding

Parmi les nombreuses raisons qui incitent le Président Obama et la majorité du parti démocratique américain à être tellement pressés à faire passer rapidement cette loi sur la "bourse du carbone" à travers le Congrès américain, c’est que le courant actuel de l’opinion publique sur le réchauffement climatique est en train de rapidement se métamorphoser. Il se trouve qu’Al Gore et l’ONU (avec l’aide des médias) il va sans dire, en ont peut-être trop fait en voulant déblatérer avec acharnement sur les "sceptiques" (les hérétiques), qui ne sont pas tellement d’accords avec les prétentions des protagonistes du RCA. La réaction brutale de l’opinion publique a fait en sorte que le débat scientifique sur cette question à repris du poil de la bête en Australie, au Japon et même, si moins rapporté, des États-Unis.

En avril, l’Académie des sciences de la Pologne a publié un document défiant les scientifiques à débattre sur le RCA. Dans la République Tchèque, où le président Vaclav Klaus est un sceptique convaincu, seulement 11 % de la population croient que les humains ont une incidence sur le réchauffement climatique.

En France, le Président Nicolas Sarkozy a plus ou moins compté sur Claude Allègre comme ministre pour le nouveau ministère de l’industrie et de l’innovation. Il y a 20 ans, M. Allègre était un des premiers à douter du RCA, mais depuis le géochimiste s’est plus ou moins rétracté. L’année passée, la Nouvelle-Zélande a élu un nouveau gouvernement, qui a immédiatement suspendu le programme du pays, âgé de quelques semaines, de la loi sur la "bourse du carbone".

Le nombre de sceptiques loin de se résorber, augmente de plus en plus. Le sénateur Jim Inhofe de l’Oklahoma peut maintenant compter sur plus de 700 scientifiques qui sont en désaccord avec l’ONU. Soit 13 fois le nombre des scientifiques qui ont écrit en 2007, le sommaire de l’ONU pour les décideurs politiques.

Joanne Simpson, la première femme au monde à recevoir un doctorat en météorologie, était soulagée de pouvoir bénéficier depuis sa retraite, de la liberté de parler franchement et sans retenue sur le fait qu’elle ne croyait pas au RCA.

Le Dr. Kiminori Itoh, un environnementaliste versé en physique chimique, qui a contribué au rapport climatique de l’ONU, identifie le RCA comme étant "le pire scandale scientifique de l’histoire humaine".

Ivar Giaever de Norvège, un récipiendaire Nobel en physique, décrie le RCA, comme étant "une nouvelle religion."

Un groupe de 54 physiciens renommés, mené par Will Harper de Princeton, à demandé à la Société américaine de physique, de réviser sa position sur " la science est aboutie" sur le RCA.
(Les deux revues scientifiques : Nature et Science ont refusé de publier la lettre ouverte de ces scientifiques.)

La déliquescence du "consensus" a été alimentée par la réalité. Une "vérité qui dérange" est que le niveau de la température de la planète est au point mort depuis 2001, malgré l’augmentation constante du niveau de CO² atmosphérique. Des recherches révisées par les pairs ont depuis longtemps démythifié les scénarios apocalyptiques sur les glaces polaires, les ouragans, la malaria, l’extinction des espèces et la hausse des océans. Une grave crise financière mondiale a forcé les politiciens à regarder de plus près, les couts technologiques et scientifiques astronomiques qui seraient nécessaires pour contrer les émissions de CO² (un non polluant), et du fait, que l’essor de l’économie mondiale en serait entravé pour longtemps.

Le crédit pour la nouvelle ère d’illumination des esprits australiens va au Dr. Ian Plimer, un géologue australien très connu. Très tôt cette année, il a publié "Heaven and Earth", une critique condamnant l’idée que sous-entend le RCA. Le livre est à sa cinquième réimpression.

Tellement contraignant, que Paul Sheenan, un journaliste australien renommé, un ardent croyant du RCA, a humblement dit en avril 2009 : "une attaque de base évidente sur la conformité et l’orthodoxie, incluant la mienne, et aussi un rappel pour respecter les sceptiques informés et prendre garde à l’évidence des idéologies subversives. Le vote australien a démontré une hausse vertigineuse du scepticisme publique; la presse recommence à questionner les dogmes scientifiques, les blogues vivent des journées fastes.

La montée du scepticisme est aussi apparue quand le premier ministre australien, Kevin Rudd, qui a comme Obama été élu pour combattre le réchauffement climatique, a essayé de passer son propre plan de réduction des émissions de CO². Son administration a été forcée de retarder son implantation jusqu’à 2011, pour être capable de passer la loi à travers la chambre australienne. Le sénat n’a pu être aussi facilement manipulé.

M. Fielding, un vote crucial pour cette loi, était tellement bouleversé par le débat sur le renouvèlement de la science, qu’il a fait expressément un voyage aux États-Unis pour trouver des faits convaincants, en assistant à la conférence annuelle de l’Institut Heartland pour les sceptiques du climat. Il a aussi visité avec Joseph Aldy, l’assistant spécial du président Obama sur l’énergie et l’environnement, où il défia l’équipe d’Obama de répondre à ses doutes. Apparemment, ils ne l’ont pas fait.

Cette semaine, M. Fielding a fait une déposition : il ne voterait pas pour cette loi. Il ne risquera pas la perte d’emplois sur la base d’une science "verte" peu convaincante. La loi va tomber en désuétude quand le parlement australien va fermer pour l’hiver.

Les républicains américains dans les années récentes se sont tournés plutôt vers des arguments sur les couts d’une telle législation climatique. Ceci prenait tout son sens à la lumière d’une crise économique qui se pointait à l’horizon. Si la présidente Nancy Pelosi faillit à faire passer cette loi, ce serait parce que les ruraux et les démocrates se font de la bile à propos des ramifications économiques. Aussi, si le reste du monde est une quelconque indication, ce serait le temps pour les politiciens américains de se réengager dans l’avenue scientifique. Une chose qui est absolument certaine : Ils ne seront pas seuls.

Amicalement

Vinety

Bibliographie
The number of skeptics is swelling everywhere. By KIMBERLEY A. STRASSEL
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http://vinety.com
 
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