Salut les membres et les visiteurs.
Photo: AP Selon l’expert le plus versé sur les ours polaires, leur nombre est plus élevé aujourd’hui qu’il y a 30 ans.Dans les prochains jours à venir, un évènement assez curieux et révélant va avoir lieu à Copenhague. L’item du dessus de la liste de l’agenda de la réunion du Groupe des spécialistes des ours polaires (organisé sous la bannière de la Commission internationale sur la survie des espèces naturelles) va être de produire un rapport suffisamment effroyable sur la façon dont les ours polaires sont menacés d’extinction par le RCA. (Réchauffement climatique anthropique).
C’est un des évènements courants de pleurnichages planifiés, pour hausser la psychose de peur sur la mise en marche de la conférence sur les changements climatiques de l’ONU prévue pour décembre prochain à Copenhague. Mais l’un des experts mondiaux des ours polaires le plus renommés (le Dr. Mitchell Taylor) a été averti de rester loin de cette réunion lors de cette semaine-là, spécialement parce que ses points de vus sur le RCA ne concordent pas avec ceux du reste du groupe.
Le Dr Mitchell Taylor a fait des recherches pendant 30 ans sur le statut et la logistique de la gestion des ours polaires au Canada et autour du Cercle arctique, comme scientifique et comme employé du gouvernement canadien. Plus d’une fois depuis 2006, il a fait les manchettes, en insistant sur le fait que le nombre des ours polaires loin de régresser, a progressé au point d’être plus nombreux qu’il y a 30 ans. Sur les 19 populations différentes d’ours polaires, presque toutes ont augmenté ou sont à un niveau optimal, seulement deux, à cause de raisons locales ont décliné modestement.
Le Dr Taylor est d’accord que l’Arctique s’est réchauffé depuis 30 ans. Mais il assure que ce n’est pas dû à la hausse du CO², tel que dicté par les modèles onusiens du GIEC sur les changements climatiques et crus par ses collègues du PBSG (Polar Bear Specialist Group), mais apportés par les courants d’eaux chaudes venant du Pacifique et en plus de l’effet des vents chauds venant de la mer de Béring et circulant sur l’Arctique.
Toutefois, il a aussi observé comment la fonte des glaces qui semblerait menacer la survie des ours polaires, a été haussée à la première place sur la liste de leur agenda, comme étant la principale menace du RCA. Une vision emblématique difficile à comprendre. La fameuse photo des deux ours polaires se tenant solitaires et malheureux sur un glaçon fondant, a été produite en des milliers d’exemplaires par Al Gore, le WWF et plusieurs autres comme l’emblème sur l’idée que les ours polaires étaient menacés d’extinction, er ça, jusqu’à l’année passée, quand la photographe
Amanda Byrd révéla que les ours polaires près des cotes de l’Alaska n’étaient pas en danger. Le portrait qu’elle avait pris n’avait aucune corrélation avec le RCA et a été seulement pris parce que le bloc de glace sculpté par les vents sur lequel ils se tenaient faisait une image spectaculaire.
Le Dr Taylora obtenu des fonds pour l’aider à assister à la réunion du PBSG de cette fin de semaine, mais les membres ont votés contre lui, à cause de ses vues dissidentes sur le RCA. Le président du PBSG, le Dr Andy Derocher, un ancien élève universitaire du Dr.Taylor, a franchement expliqué dans un courriel (qui ne pas été remis par le Dr Taylor) que sont rejet n’avait rien a voir avec sa grande expertise des ours polaires : "c’est ta prise de position sur le RCA qui a catalysé l’opposition des membres".
On a dit au Dr Taylor que " ses points de vues contraires sur le RCA ont été extrêmement pernicieux. La signature de la Déclaration de Manhattan, une déposition faite par 500 scientifiques : que les causes du RCA ne soient pas le CO² mais sont naturelles, telles que les changements de la radiation solaires et des courants océaniques, "étaient contradictoire avec la position prise par le PBSG ".
Comme le grand train de Copenhague continu de rouler, comptant sur les rapports de cette semaine, sur la ligne de pensée des scientifiques : "qui disent que les ours polaires sont menacés d’extinction, à cause de la disparition des glaces de l’Arctique". Mais aussi, il faut vérifier les articles d’Antony Watt, sur son site "Watt up With That", pour les dernières nouvelles de ce qui arrive actuellement en Arctique.
La moyenne de la température en ce mi-été est toujours au-dessous de zéro, ce qui est un record, si ont prend compte des données enregistrées depuis 50 ans. Après le recouvrement de l’année passée, de la basse température de septembre 2007, la fonte de la glace de cette année semble être substantiellement moindre depuis un certain temps. Les ours polaires se portent bien.
SOURCE Polar bear expert barred by global warmists. By Christopher Booker, Published: 5:20PM BST 27 Jun 2009, Telegraph.co.UK
Amicalement
Vinety