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 Les GES saturés naturellement par le climat.

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Vinety
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MessageSujet: Les GES saturés naturellement par le climat.   Les GES saturés naturellement par le climat. Icon_minitimeMer 13 Mai - 18:36

Salut les membres et les visiteurs

A Note from Christopher Game, Posted by jennifer, May 7th, 2009 - under Opinion, Tags: Climate & Climate Change

Par jennifer, le 7 mai 2009

Un article de Christopher Games

Depuis quelques années, une connaissance accrue de notre compréhension de la dynamique physique du processus climatique, nous a été apportée par les travaux de Ferenc Miskolczi. Pour cette chronique, j’ai appelé sa découverte "Les GES saturés naturellement par le climat."
J’ai utilisé ces mots pour expliquer que la "saturation" dont je parle n’est pas la saturation classique d’un système isolé, mais est une "saturation" dans son sens spécifiquement étendu s’appliquant à un système ouvert dans un état thermodynamique dynamiquement perturbé.

La découverte du Dr Miskolczi émerge de son travail régulier à la NASA en examinant les données obtenues avec les ballons radiosondes. Il a étudié et analysé sous le microscope les transferts des données radiatives d’un programme d’ordinateur qu’il avait lui-même programmé. L’ensemble des données accumulées s’est trouvé n’être qu’une partie d’un vaste réservoir d’une richesse incomparable de faits physiques. Du réservoir des données numériques, le Dr Miskolczi a extrait des formules mathématiques abstraites, de nouveaux faits exprimant de nouvelles connaissances physiques.

Le Dr Miskolczi a démontré que la vraie dynamique physique des processus climatiques, est que la vitesse actuelle du changement du niveau de GES est dynamiquement déterminée, parmi d’autres facteurs, principalement par le montant des GES présentement dans l’atmosphère. Un deuxième facteur dynamique est la fluctuation de la température atmosphérique. Il y a d’autres facteurs dynamiques et qui sont actuellement, grandement ignorés.

D’une autre façon, son hypothèse que le CO² anthropologique cause un réchauffement climatique nocif, le GIEC parle en terme de son formaliste mathématique du "forçage radiatif" et de la rétroaction positive des "vapeurs d’eau". Mais triste à dire, ce formalisme est fatalement erroné et ne peut pas décrire la vraie structure dynamique de la réaction du climat face aux CO².

Le formalisme mathématique du GIEC n’admet qu’une seule variable de l’état dynamique interne, de la température du climat. Ce formalisme exprime une température climatique comme étant une fonction mathématique statique (ou parfois comme un effet dynamique) d’un forçage radiatif. Le formalisme sépare mathématiquement cette fonction mathématique (ou l’effet dynamique) en des composantes qui sont appelées "rétroactions." Mais ces "rétroactions" ne sont pas dynamiquement différentes de la température climatique. Le formalisme les exprime simplement comme une fonction mathématique statique de la température climatique. Conséquemment, les facteurs dynamiques qui gouvernent le vrai système climatique ne peuvent être exprimés dans le formalisme du GIEC parce que c’est mathématiquement inapproprié pour résoudre ce genre de problème.

Le Dr Miskolczi ne prévoyait pas de parler de sa découverte sur les GES saturés naturellement par le climat, mais elle s’est retrouvée comme étant une observation accidentelle qui s’est produite lors de son travail régulier à la NASA.
En fait, sa découverte est semblable à la découverte fondamentale faite par l’Australien Garth Paltridge qui a accidentellement remarqué dans ses observations des données climatiques, que les faits sont décrits par un principe d’un rythme maximum dans une production entropique. Avec le travail précédent de Hans Ziegler, un technicien du plastique, la découverte du professeur Paltridge a été un marchepied sur la voie pour comprendre comment la deuxième loi de l’équilibre thermodynamique permet de traiter avec la dynamique thermo dynamiquement perturbé dans un système adiabatique dans un état stable. Cela a été une avancée technique radicale dans la plus profonde compréhension scientifique. Cette pertinence a été mentionnée plus haut.

Ce genre d’observations fortuites de faits empiriques (expérimentaux) est au cœur de plusieurs avancés historiques importants dans la science de la nature. C’est le genre d’accident qui arrive seulement aux esprits préparés et réceptifs, comme le professeur Paltridge, le Dr Miskolczi avait un esprit préparé.

La découverte de Miskolczi de l’effet CSGE décrivant un processus climatique dynamiquement collé à une phase de transition thermo dynamiquement instable. Ceci veut dire que le climat est dans un régime stationnaire dynamiquement stable.

L’effet global est de maintenir un rapport constant du moteur énergétique solaire avec une température climatique à long terme. On pourrait appeler ceci le rapport réactionnel climatique, mais tenons-nous-en seulement au "rapport". Le rapport est indépendant des émissions de CO², qui conséquemment, ne peuvent augmenter la température à long terme.
Seul, une augmentation énergétique solaire peut gouverner la hausse de la température à long terme.

Les changements dans le moteur énergétique solaire peut-être seulement causé par des changements de la chaleur irradiée du soleil et par des changements de distances entre la terre et le soleil. D’autres moteurs à l’extérieur du système solaire peuvent aussi perturber le processus climatique terrestre, mais ne peuvent bouleverser la température climatique à long terme. De telles perturbations incluent plusieurs mécanismes variés et divers, comme l’apport accru de rayonnements cosmiques galactiques, et les effets chaotiques déterministes des marées causés par la gravité solaire, la lune et les autres planètes

Un effet dynamique principal dans le maintien de la stabilité climatique est un refroidissement non linéaire à travers une fenêtre atmosphérique, phénomène découvert par George Simpson en 1982. Après que la chaleur du soleil ait été absorbée par la terre, le rayonnement infra rouge venant de la terre renvoie la chaleur vers l’espace sidéral. La vapeur d’eau est le principal gaz à effet de serre. Sa large et forte capacité d’absorption de rayonnements infra rouges de son spectre, a quand même un très grand nombre de brèches profondes. La radiation venant de la terre et de la mer passe facilement à travers ces brèches du spectre infra rouge, collectivement appelé la fenêtre atmosphérique. L’échappement est gouverné non linéairement par la loi sur la radiation de Planck. La non-linéarité explique que plus la terre est chaude, plus efficace est la fenêtre qui refroidit la terre. Simpson a aussi découvert une autre propriété puissante de la stabilisation climatique de l’eau. La vapeur d’eau peut fabriquer les nuages, qui selon ce qu’a noté Simpson, ont de puissantes tendances à refroidir la terre en réfléchissant une partie du rayonnement solaire, qui n’est jamais absorbé par la terre. Ce qui est appelé un accroissement de l’albédo.

Pourquoi le rapport de la réaction climatique est-il constant?
.
Parce que l’eau domine la dynamique du climat.

Peut-être qu’une simple analogie pourrait aider. Le climat est semblable à un chaudron d’eau saturée de sel qui bouille sur le poêle. Augmentez la chaleur du rond et le point d’ébullition n’est pas affecté. Ajoute plus de sel et le point d’ébullition ne change pas, parce que la solution est déjà saturée.

Un des GES (la vapeur d’eau) peut altérer dans la troposphère sa propre concentration, de telle façon qu’elle agit dans l’atmosphère comme une solution climatique saturée. Parmi plusieurs atmosphères similaires aux bulles dans l’eau qui bouille dans le chaudron, peut-être que l’exemple le plus dramatique et le plus vif sont les tours protégées des profondes convections tropicales décrites par le professeur Riehl et Malkus en 1958.

Ils sont les stimulateurs cardiaques des pluies tropicales. Ajoutez quelques molécules de CO² et ils se mettent à frémir un petit peu plus, et font pleuvoir un petit peu plus, mais aussi longtemps que l’activité solaire ne change pas, et que les vapeurs d’eau demeurent les principaux GES terrestres dominants, la température climatique reste inchangée.

Les bulles se produisent dans un franchissement du seuil dynamique, ce qui veut dire comme mentionnés ci-dessus, sur le refroidissement de la fenêtre non linéaire. Plus grande est une perturbation thermique, plus efficace est la réaction rafraîchissante. Ceci est l’interprétation de la saturation climatique des GES comme étant un processus associé à une transition stable de phase thermo dynamiquement instable.

Le processus climatique est différent d’une bouilloire avec une conséquence très importante.
L’instabilité d’une transition de phase est conceptuellement un peu différente d’une phase équilibrée. La transition de phase sur lequel le processus climatique est associé est dynamiquement différente caractériellement, contrastant avec la transition de phase de l’eau qui bouille, qui elle, a une caractéristique statique. Conséquemment, la quantité physique qui lui est associée n’est pas la température climatique, elle est le rapport de la réaction climatique.

Le rapport est stable et constant parce qu’il est gouverné par le principe du taux maximal de production entropique, telle que déterminée par la présence de l’eau de l’océan et de la radiation de la chaleur solaire. Au niveau le plus simpliste, le principe général est que plus haute est la température, plus il y a de fluctuations dynamiques possibles dans le processus climatique.

Les plus efficaces vont agir, comme s’ils saisissaient une occasion qu’ils ne pouvaient rater, et leurs chances augmentent avec la hausse de la température. Une augmentation dans la température atmosphérique va rendre possibles des mécanismes additionnels de dissipation de la chaleur vers l’espace, parce qu’il n’y a rien dans l’espace qui peut les arrêter. Miscolczi nous a fourni plus de détails sur le mécanisme d’actualisation.

Fin de la première partie

P.S. Traduit de l’anglais par Vinety, le 12 mai 2009-05-13

Amicalement

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MessageSujet: Deuxième partie de cette enfilade.   Les GES saturés naturellement par le climat. Icon_minitimeMer 13 Mai - 18:40

suite de la première partie:


Le rapport est stable et constant parce qu’il est gouverné par le principe du taux maximal de production entropique, telle que déterminée par la présence de l’eau de l’océan et de la radiation de la chaleur solaire. Au niveau le plus simpliste, le principe général est que plus haute est la température, plus il y a de fluctuations dynamiques possibles dans le processus climatique.

Les plus efficaces vont agir, comme s’ils saisissaient une occasion qu’ils ne pouvaient rater, et leurs chances augmentent avec la hausse de la température. Une augmentation dans la température atmosphérique va rendre possibles des mécanismes additionnels de dissipation de la chaleur vers l’espace, parce qu’il n’y a rien dans l’espace qui peut les arrêter. Miscolczi nous a fourni plus de détails sur le mécanisme d’actualisation.

Dans le contexte de la propriété stabilisante de l’eau à travers les nuages et la fenêtre atmosphérique, le Dr Miskolsci a découvert une autre puissante propriété de l’effet stabilisateur de l’eau. C’est un GES qui peut altérer sa propre concentration dans la troposphère sans nuages, et il le fait d’une façon stabilisante.

C’est la propriété qui en principe ne peut être représentée dans le formalisme imparfait du GIEC. Mais ensemble, les propriétés des nuages et la propriété altérante de la concentration de GES dans un ciel clair stabilisent le processus climatique. Ceci est la raison pourquoi les émissions de CO² ne peuvent altérer à long terme, la température climatique.

Lors d’une nuit étoilée, vous pouvez voir des étoiles filantes. Plusieurs de ces étoiles filantes sont de météorites de glace qui se vaporise dès leur entrée dans l’atmosphère. Elles constituent une fonction naturelle extérieure gouvernant l’ajout de GES dans l’atmosphère, mais ne gouvernent pas la saturation statique de la troposphère. Ceci est le signe que la troposphère a pendant des milliards d’années gouvernés marginalement son aspect clair contenant des vapeurs d’eau, en formant des nuages inférieurs et de la pluie, en quantité suffisante pour compenser pleinement et complètement pour les additions de GES naturels

Le système climatique a historiquement maintenu un montant maximal de vapeurs d’eau dynamiquement stable dans une troposphère sans nuages. La raison est très simple. La circulation convective déplace inévitablement des quantités phénoménales de parties de l’atmosphère de haut en bas, de façon à assécher partiellement la troposphère et garder son aspect transparent de son contenu de vapeur d’eau beaucoup moins élevée, que le niveau de saturation classique statiquement définit.

Comment le rapport réactionnel climatique reste-t-il constant quand il y a des émissions de CO² dans l’atmosphère? En augmentant le frémissement de la vapeur d’eau augmente la pluie, augmente la formation de nuages inférieurs, et augmente la production d’air sec dans la haute troposphère.

Additionner du CO² au système déplace simplement un petit montant de vapeur d’eau sans altérer le montant total effectif des GES présents dans le ciel clair de la troposphère, qui annulent l’effet thermique de l’addition de CO². Dans ce contexte restreint, quelqu’un pourrait dire qu’un GES est aussi bon qu’un autre, mais réellement certains GES (la vapeur d’eau) a des propriétés additionnelles que les autres n’ont pas, comme le CO².

Quand on ajoute du CO² dans l’atmosphère, les premiers effets sont radiatifs (émission de rayonnements). Il y en a qui bloquent la fenêtre des radiations infra rouges vers l’espace sidéral, ce qui a pour conséquence de réchauffer la troposphère inférieure et médiane. Et de plus, il y a une hausse d’altitude de la limite de la couche optique de la haute troposphère, l’altitude de la troposphère est haussée. Parce que là, la température étant plus basse, l’émission radiative des infra rouges de la couche limite optique supérieure de la troposphère est réduite jusqu’à ce que la température inférieure soit neutralisée.

.Alors l’air plus chaud, plus humide et moins dense de la troposphère inférieur est irradié vers la zone tropicale. Ça frémit plus vite, avec la production de plus de nuages tropicaux inférieurs et de pluies, accroissant le déplacement vers le haut de la chaleur latente de la vapeur d’eau, et la livraison de plus d’air vers les hautes altitudes de la tropopause, où il s’assèche à cause de la température plus basse. Ces facteurs contrebalancent les effets radiatifs causés par l’ajout de CO².

Le cycle circulatoire est complété, quand le montant plus élevé d’air plus sec est irradié vers les pôles et vers le bas en un retour vers la surface de la terre, et sur son parcours il neutralise le reste des effets radiatifs causés par l’ajout de CO².

De tels cycles de convection des gaz atmosphériques sont connus pour être universellement typiques de la sorte d’organisation dynamique qui se développe sous l’autorité des principes de production entropique maximale.

La dissertation du formalisme mathématique du GIEC dépend d’une idée erronée qu’un GES peut agir comme un pur moteur radiatif virtuel, mais à cause de la découverte de Miskolczi, nous comprenons maintenant que l’addition d’un GES doit être traitée selon ses propres propriétés inhérentes comme force motrice.

Le compte rendu ci-dessus n’est qu’un maigre aperçu qualitatif, mais le travail même du Dr. Miskolczi est une analyse qualificative de mesures empiriques de l’atmosphère.

Le Dr. Miskolczi nous a démontré pourquoi présentement, un emballement des GES est physiquement impossible. Quelqu’un pourrait ajouter qu’il y a eu un semblant d’emballement similaire des GES à l’origine des océans, il y a un milliard d’années. Mais il a suivi son cours et nous a amenés où nous sommes présentement et n’a plus aucune autre direction où nous amener.

En Australie nous avons été chanceux dans les dernières semaines passées, d’avoir la visite du Dr. Miklos Zagoni, un expert des découvertes de Miskolczi, et ceci a été une occasion éducative importante pour nous tous.

Même le grand maitre de la théorie de l’entropie maximale, le magnifique Edward Jaynes lui-même n’a pas compris le principe du taux maximal de production entropique. Le professeur Paltridge n’a pas frappé suffisamment fort sur la tête du clou la première fois. Son article de 1975 n’a même pas suggéré le taux maximal de production entropique. Effectivement, même en 2001, il en doutait. Le principe du taux de production maximale d’un système entropique est encore seulement au niveau du balbutiement dans les livres de physique, c’est un nouveau principe. Ce cheminement est fait de petits sauts imprévisibles

Le Dr, Miskolczi a présenté son étude sur la saturation climatique des GES comme une analyse empirique avec les conséquences théoriques qu’il a démontrées, mais sa publication inclue aussi quelques analogies détachées, et son étude a besoin de plus de développements théoriques. Présentement, le Dr.Miskolczi travaille plus profondément sur sa découverte, et nous pourrons être témoins d’autres publications futures de sa part. Je vois la voie en avant, pas comme une façon de marteler et briser le marchepied du cheminement de la science, mais bien de construire la route elle-même. Pour prédire le climat, nous avons besoin de nous améliorer dans la compréhension de la physique. Il y a encore beaucoup à comprendre.

Christopher Game vit à Melbourne, Australie,

P.S. Traduit de l’anglais par Vinety, le 12 mai 2009-05-13

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